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Muscanna Blanc 2021
Domaine Einhart
Le format magnum amplifiera la richesse de ses arômes et le fondu des tannins de ce Muscanna, dont la robe est d’un bel orangé, ambrée, avec un superbe éclat. Le premier nez offre les arômes riches typiques des baies de muscat en surmaturité, légèrement fumés. Un second nez, tout en finesse, apporte une pointe d’agrumes qui incite à la dégustation. En bouche, l’attaque est très droite et ample, accompagnée d’une acidité fondue qui s’exprime à travers des notes de coing confit. La finale est tonique, avec des tannins fondus liés à la macération. Magnifiquement complexe, ce blanc sec est l’hommage du domaine Einhart au cépage muscat, comme l’indique le nom de la cuvée. Muscanna est en effet un cent pour cent muscat d’Alsace, issu de la propriété et vendangé à la main en surmaturité. Les vignes ont environ vingt-cinq ans et croissent sur les splendides terroirs de calcaires oolithiques (muschelkalk) sur les lieux-dits Fleckenstein, Westerberg et Meyen. La vendange est égrappée, la macération en cuve est de quatre à six jours et la fermentation se fait par levures indigènes. Le vin est élevé en cuve d’inox sur lies fines et non filtré à la mise en bouteille. Nous vous conseillons de carafer Muscanna pour l’aider à développer ses arômes splendides.
Pour en savoir plus
Situé dans la partie nord du vignoble alsacien, à l’horizontale de Strasbourg, le domaine Einhart est une propriété familiale de dix hectares dont les vignes se trouvent sur les coteaux qui s’élèvent entre la plaine d’Alsace et les monts des Vosges. Le sol y est argilo-calcaire et riche en fossiles (muschelkalk, c’est-à-dire calcaire coquiller et calcaire à oolithes, et lettenkohle ou calcaire dolomitique). Depuis 1990, Nicolas Einhart est aux commandes, désormais secondé par son fils Théo. Fidèle à ses engagements pris pour l’association TIFLO, dont il est cofondateur, Nicolas consacre son travail viticole à la protection de la terre et de la biodiversité, la vinification sans intrant, le refus des produits phytosanitaires nocifs et le maintien des zones écologiques refuges. Son domaine est certifié bio à partir de 2011. Comme Jean-Marc Dreyer [faire lien], il s’oriente résolument vers la macération pelliculaire et réalise des vins blancs de macération (vins orange) en plus d’un rouge de pinot noir. Vendanges entièrement manuelles, éraflage des grappes, pigeages légers et pressurages délicats sont caractéristiques du domaine, ainsi que la vinification séparée de chaque terroir, l’élevage sur lies et l’absence de filtration avant mise en bouteilles. Les vins sont de pur raisin, vifs, puissants, toniques, et transcrivent la minéralité des très beaux terroirs des contreforts vosgiens.
Mensonge à Papa Rouge 2021
Belly Wine Experiment
Frais, souple, fruité, léger et gouleyant, Mensonge à papa est un délicieux vin d’apéritif, de partage, de soif, de table et de bonne compagnie. Il porte haut la bannière du gamay des deux régions : Auvergne (de Châteaugay, près de Riom, sur terrain calcaro-volcanique) et Beaujolais (de Rivolet, sur granites bleus). Il résulte en effet de l’assemblage à parts égales de ces deux origines du même cépage, avec certes un air de famille partagé mais aussi une différence marquée : le gamay d’Auvergne possède davantage d’acidité. Mensonge à papa constitue donc, en quelque sorte, une ode au gamay. Les raisins sont d’abord lentement pressurés, puis leur moût est ajouté à des grappes entières (de gamay, surprise !) pour une macération carbonique de quinze jours. L’élevage se déroule pendant une année en cuve de fibre de verre. Aucun intrant chimique n’est ajouté au cours de la culture et de la vinification, et notamment aucun sulfite. Classé en Vin de France et titrant 13,5 %, il fera merveille à l’apéritif ou à table, ou juste pour passer un bon moment.
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Fondé et dirigé par Claire Sage et Aimé Duveau, situé à Chanteuges (Haute-Loire), Belly Wine Experiment est une expérience autant qu’un négoce de vinification. Le binôme de créateurs a de qui tenir : Claire est la sœur de Daniel Sage, adepte de l’élevage sous-marin des vins mais surtout importateur de vins catalans. De là la présence de cépages catalans dans les assemblages de Belly Wine Experiment, à côté de cépages bourguignons, auvergnats ou jurassiens, volontiers dans la même bouteille. Aimé est le fils de Manu Duveau, vigneron-poète d’Auvergne, ex-tailleur de pierre et grand vinificateur de gamays locaux à son domaine de l’Égrappille. La spécificité de Belly Wine Experiment est l’exotisme (au sens propre) des assemblages, le xarel·lo de Catalogne pouvant côtoyer par exemple le gamay du Puy-de-Dôme avec le plus grand naturel. Les vins sont réalisés en macération semicarbonique, sans ajouts d’intrants chimiques ni manipulation excessive au chai. La maison est également connue pour ses poirés, vineux et de très haute qualité.
Muscat Petit Grain Blanc 2002
Le petit Gimios
Un muscat de liqueur bien dans la tradition de Saint-Jean-de-Minervois, région où se situe le domaine. Ce muscat à petit grain est un vin muté, c’est-à-dire un moût dont on a interrompu la fermentation par ajout d’alcool. Cela donne un breuvage délicieux, à la fois doux et frais, d’une incroyable complexité aromatique. Vous pouvez le garder au frais presque indéfiniment après ouverture, bien bouché : idéal pour servir un coup aux copains de passage. Intéressant aussi pour la restauration, servi au verre, en raison de sa stabilité une fois la bouteille débouchée. Accords quasi illimités. Servir bien frais.
Pour en savoir plus
Le Petit Domaine de Gimios est situé près de Saint-Jean-de-Minervois, ancien terroir et origine de muscats doux du Languedoc. De fait, le domaine se consacre au muscat à petit grain typique de la région (en plus de quelques autres variétés), et Anne-Marie Lavaysse se place directement dans la tradition en produisant de beaux vins à base de ce précieux cépage. En 1993, elle reprend avec Pierre, son fils, plusieurs vignobles anciens à l’abandon dont elle constitue le domaine. Petit, certes, mais polycultural et quasi autarcique : le muscat de vieilles vignes partage l’espace avec des cultures potagères et vivrières, des arbres fruitiers et un peu d’élevage. Rien de tout cela ne reçoit d’intrant chimique, de soufre, de force mécanique, et le domaine, certifié Écocert, est cultivé en biodynamie. Sur ces cinq hectares, viticulture et polyculture, c’est tout un. Les vendanges manuelles se font au petit matin, la vendange est éraflée et foulée aux pieds, avant de macérer pendant environ dix jours par levures autochtones. Aucun ajout de sulfites à la mise en bouteilles. Les vins sont qualifiés de toute part de « délicieux », « purs et frais », « francs et digestes ». La maison produit des muscats secs, moelleux, liquoreux ou mutés, ainsi que des rouges très fruités de cépages traditionnnels locaux. Partout, l’impression de croquer dans des raisins frais.
Moelleux de Muscat Blanc 2012
Le petit Gimios
Réellement spécial et unique, le moelleux de muscat du Petit Domaine de Gimio est un vin doux qui intriguera votre palais : charme, caractère, complexité, une touche de mystère, une douceur qui s’attarde langoureusement avec une magnifique finale. Il est destiné aux amateurs de vins qui sortent des sentiers battus sans se déprendre de leur volupté. Ce moelleux de muscat est issu d’une parcelle que le domaine travaille également en sec. Il s’accordera avec des tapas, des apéros dînatoires ou déjeunatoires, des poissons et des fruits de mer crus.
Pour en savoir plus
Le Petit Domaine de Gimios est situé près de Saint-Jean-de-Minervois, ancien terroir et origine de muscats doux du Languedoc. De fait, le domaine se consacre au muscat à petit grain typique de la région (en plus de quelques autres variétés), et Anne-Marie Lavaysse se place directement dans la tradition en produisant de beaux vins à base de ce précieux cépage. En 1993, elle reprend avec Pierre, son fils, plusieurs vignobles anciens à l’abandon dont elle constitue le domaine. Petit, certes, mais polycultural et quasi autarcique : le muscat de vieilles vignes partage l’espace avec des cultures potagères et vivrières, des arbres fruitiers et un peu d’élevage. Rien de tout cela ne reçoit d’intrant chimique, de soufre, de force mécanique, et le domaine, certifié Écocert, est cultivé en biodynamie. Sur ces cinq hectares, viticulture et polyculture, c’est tout un. Les vendanges manuelles se font au petit matin, la vendange est éraflée et foulée aux pieds, avant de macérer pendant environ dix jours par levures autochtones. Aucun ajout de sulfites à la mise en bouteilles. Les vins sont qualifiés de toute part de « délicieux », « purs et frais », « francs et digestes ». La maison produit des muscats secs, moelleux, liquoreux ou mutés, ainsi que des rouges très fruités de cépages traditionnnels locaux. Partout, l’impression de croquer dans des raisins frais.
Super Pink Rosé 2021,
Fréderic Cossard
Une robe gracieuse et délicate d’un rosé pâle, et un vin doté des mêmes qualités : cent pour cent cinsault, fruits rouges, notes d’agrumes, fleurs et zestes d’orange. Comme un soleil provençal en bouteille. D’une merveilleuse pureté, ce vin est issu du pressurage direct de raisins vendangés sur des vignes de vingt ans près de Vaison-la-Romaine (Vaucluse), sur sols argilo-calcaires. L’élevage est bref, en cuve d’inox. Un rosé d’été, sans hésitation, mais aussi de toute l’année, avec des cuisines d’Asie ou du Moyen-Orient, ou encore des fruits rouges.
Pour en savoir plus
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne-Hautes-Côtes-de- Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura, en Languedoc ou ailleurs. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
Ganache Rouge 2021,
Domaine de l'Octavin
Un vin complexe, novateur et délicieux, obtenu au bout de huit semaines de macération en grappes entières. La mise en bouteilles a été faite en juin 2022. Ganache n’est pas loin de grenache, ça y est, vous avez compris, et le gamay se met de la partie. Le fameux cépage méridional, cultivé en biodynamie et vendangé à Carpentras (SCEA L’Authentique de Claude Ughetto), vinifié dans le Jura, ne se sent pas du tout dépaysé : rien ne l’empêche de déployer ses notes effrontément fruitées – cerise, fraise fraîche et confite, framboise, mûre, prune, fruits secs – relevées de prune, de poivre noir, d’épices et de chocolat. Tout ça ? Oui. Ne vous étonnez pas d’une légère réduction à l’ouverture : aérez le vin, carafez, ou faites un peu attendre dans le verre, elle s’envolera.
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« Il n’y a besoin de rien », dit Alice Bouvot, vigneronne du domaine de l’Octavin, « juste d’un raisin qui est bien dans sa peau. » Tout est dit en faveur du vin naturel, c’est une description parfaite. Créé en 2005, le domaine d’Alice est situé à Arbois, dans ce Jura viticole souvent qualifié de vignoble le plus bio de France. L’habitude de réaliser – entre autres – des vins oxydatifs est une bonne préparation au nature, ce type de vin n’admettant aucun additif chimique et surtout pas de sulfite. C’est un secret de cette magnifique région. Originellement étendu sur deux hectares, le domaine, entièrement conduit en biodynamie (Demeter) depuis 2010, s’est agrandi par l’acquisition progressive de parcelles et couvre à présent sept hectares.
Musicienne accomplie et mélomane passionnée, Alice entend appliquer sa sensibilité musicale aux vins qu’elle réalise. Elle établit un parallèle entre la perfection technique des vins conventionnels qui risque d’exclure le sentiment, tandis qu’« un musicien qui ne connaît pas le solfège et joue avec ses tripes procure de l’émotion ». Pour elle, le vin vivant est ainsi : instinctif, improvisé, émotionnel. Initiée au vin naturel par Stéphane Planche, sommelier chez le chef Jean-Paul Jeunet à Arbois, elle suivra fidèlement cette voie. Les intitulés parfois fantasques de ses cuvées s’inspirent tantôt de l’art musical (Dorabella, Zerline), tantôt des parcelles nombreuses dont son vignoble est composé (En Curon, Les Corvées, En Poussot, etc.), et ne dédaignent pas un calembour de temps en temps. De même, les étiquettes ornées de petits gnomes joyeux et salaces sont une signature du domaine. Quant aux cépages, ce sont les classiques du Jura — poulsard, trousseau, pinot noir pour les rouges, et chardonnay, savagnin pour les blancs. Parallèlement à ses vins d’Arbois, Alice a créé un négoce de raisins « sur pied » (certifiés Écocert) avec ses amis vignerons de la région. Naturels, engagés, joyeux et hautement buvables, les vins d’Alice Bouvot sont d’autant plus convoités que les cuvées, réalisées en mode parcellaire, apparaissent, disparaissent et réapparaissent selon le millésime et l’inspiration.
€238,10
Prix unitaire par€238,10
Prix unitaire parMagnum Pommard 1er Cru Pezerolles Rouge 2017,
Domaine de Chassorney
Le nez est chargé de fruits rouges compotés et épicés ; la framboise domine. Au palais, on reconnaît bien la typicité du terroir de Pommard, la souplesse et la vivacité qu’il donne au vin. Ce magnum de pommard « Les Pézerolles » a besoin de temps pour se révéler : ce millésime 2017 est à boire dès à présent ou à attendre encore. Classé premier cru, c’est un pinot noir tout en fruits rouges confits et en souplesse qui provient de la parcelle des Pézerolles, juste au-dessus du climat des Petits Épenots. Elle fut parmi les premières parcelles instituées dans l’AOC Pommard en 1936. Son terroir est situé entre 250 et 330 mètres d’altitude sur des sols marneux, bruns calciques et bruns calcaires. Les raisins macèrent trois semaines en grappes entières. L’élevage se fait environ un an en barriques et le vin n’est ni filtré ni clarifié avant mise en bouteilles.
Pour en savoir plus
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne-Hautes-Côtes-de-Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura, en Languedoc ou ailleurs. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
Orange Blanc 2020,
Château Lafitte
Cette cuvée Orange à la robe vieil or spectaculaire et aux tannins souples et enchanteurs est issue à 100 % de petit manseng, cépage emblématique du Jurançon. Elle est issue de vendanges manuelles effectuées durant la seconde quinzaine de septembre. La viticulture, comme la vinification, se fait sans ajout d’intrants chimiques ni de sulfites. Orange est issu d’une macération de trois semaines en jarre de terre cuite, ce qui lui donne cette belle robe fauve, ce nez puissant et ces tannins souples et fondants. Un véritable trésor à garder jusqu’à dix ans en cave (encore faut-il y parvenir). Possibilité d’accords gustatifs quasi infinis (tout va avec, y compris les denrées les plus improbables). Un orange dense et puissant, d’une étonnante complexité, et qui n’oublie pas en même temps d’être fin et caressant.
Pour en savoir plus
Château Lafitte est situé en Béarn, sur le noble terroir de Jurançon, origine de superbes vins liquoreux et de vins secs qui n’ont rien à leur envier. Depuis le XIVe siècle, Monein, commune où se trouve le domaine, est niché dans un exceptionnel milieu naturel, riche et vallonné. Au XVIe siècle, les vignes occupaient déjà une part importante de la propriété, et elles ont perduré jusqu’à nos jours. Philippe et Brigitte Arraou, les actuels propriétaires, ont entrepris de relancer la viticulture sur le site, aidés depuis 2012 par leur fils Antoine, vigneron aussi passionné que ses parents. Château Lafitte est désormais exploité en biodynamie et en agroforesterie : cinq hectares de sols marno-calcaires typiques de l’appellation, sur un relief accidenté et pouvant devenir très froid en hiver. Les cépages rois de Jurançon, petit manseng et gros manseng, représentent l’essentiel de l’encépagement. Également typique de Jurançon et des Pyrénées-Atlantiques en général, la viticulture en hautains, c’est-à-dire surélevée et palissée très haut, est pratiquée. Comme elle l’était d’ailleurs dans beaucoup de vignobles primitifs, donc certains sont encore actifs (Portugal, Espagne, Géorgie…). Sur ce beau domaine, les expérimentations vinicoles sont légion : élevage en jarres de terre cuite pour les vins secs, solera pour les moelleux en barriques non ouillées, toitures photovoltaïques pour le chai, récupération des eaux de pluie, vinification gravitaire. Le château Lafitte produit aussi bien des jurançons moelleux que des vins secs tranquilles et un pétillant naturel très réussi, Funambule.
Absinthe Blanche 60° - 70cl
Distillerie Awen Nature
Cette absinthe blanche certifiée biologique est le résultat d’une recette particulière qui a fait l’objet d’une longue année de recherches de la part du créateur de la distillerie Awen Nature. Entièrement bio et naturelle, elle tire son goût d’une combinaison de sept plantes distillées, un bouquet qui exprime des notes très rafraîchissantes, toujours avec une dominante d’anis et des notes complexes de plantes telles que l’absinthe, la coriandre, l’hysope ou la citronnelle. Cette absinthe est créée et distillée exactement comme l’était cette liqueur avant l’interdiction de 1915. Pour l’apprécier pleinement, nous recommandons la méthode traditionnelle : dans un verre contenant une dose d’absinthe, déposez un sucre sur une cuillère à absinthe et faites couler de l’eau fraîche goutte à goutte sur votre sucre. Au contact de l’eau, L’absinthe blanche se trouble légèrement pour révéler des reflets irisés et éclatants.
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La distillerie Awen Nature est une fabrique de potions magiques : des breuvages à forte teneur celtique, des liqueurs biologiques avec une forte touche de poésie. Cette distillerie bretonne, située en Ille-et-Vilaine et dirigée par Julien Fanny, s’est d’abord consacrée à l’absinthe, une liqueur que Julien a contribué à réhabiliter. Ce n’est pas « la liqueur qui rend fou, dit-il : on était déjà fou avant. » Il s’efforce — avec succès — de reproduire le goût d’antan, celle des absinthes qu’on donnait autrefois aux enfants sur un morceau de sucre comme vermifuge. « Il faut un grain de folie pour être distillateur aujourd’hui », dit Julien. Outre l’absinthe, Julien distille une vaste gamme d’alcools et de liqueurs : gins, vodkas, rhums botaniques, élixir du Suédois, concoctions inspirées des jeux de rôles… Le tout à base de plantes, dans le respect de l’environnement, sans conservateur ni arôme artificiel. Une ode au végétal que doivent siroter en secret les korrigans, la nuit, sur les landes.
Saint Joseph Cuvée Madloba Rouge 2020
Paul Estève
Vallée du Rhône - Saint-Joseph AOC AOP
Le fruit est dense, net et précis, les tannins sont fins, onctueux et pleins de fraîcheur, et la minéralité est subtile. Même l’intensité d’une syrah du Rhône laisse apparaître ce « goût d’eau », cette fluidité désaltérante qui est la marque que Chrystelle Vareille et Paul Estève désirent donner à leurs vins. Avec ses notes florales et épicées, sa tension minérale sur une texture ample et une sapidité intense, ce vin n’est pas sans rappeler les vins de qvevri géorgiens élevés en terre cuite. Madloba (« merci » en géorgien), en AOP Saint-Joseph, est un cent pour cent syrah. Les vignes, âgées de bientôt quarante ans, sont plantées à 350 mètres d’altitude, sur une parcelle en coteau aux sols de granites et de micas noirs. La vendange fermente en tinajas, jarres de terre cuite non enterrées, et après pressurage le vin retourne en tinaja pour un élevage d’un an. Ce mode d’élevage favorise la texture du vin, adoucit les tannins et développe le fruit. Tout-terrain quant aux accords, Madloba rouge peut tout se permettre.
Pour en savoir plus
Paul Estève et Chrystelle Vareille sont les créateurs du domaine des Miquettes, dont la grande spécificité est l’emploi des techniques géorgiennes. Ils se passionnent en effet pour ce pays du Caucase, berceau du vin, où des techniques de vinification vieilles de huit mille ans sont encore en vigueur. Au cœur de cette viticulture est le qvevri, la jarre enterrée où se déroule toute la vinification : fermentation avec macération pelliculaire et élevage. Ils partent à la découverte de ce pays et en reviennent avec la décision d’élever tous leurs vins en jarres enterrées. Ils en ont vingt-six, mais distinguent les tinajas (jarres espagnoles) pour les fermentations-macérations et les « amphores » enterrées pour l’élevage. Aucun soufre n’est ajouté. Pour les rouges comme pour les blancs, la terre cuite gomme l’astringence et la transmute en une texture veloutée, une matière fruitée et souple.
Le domaine, situé en Ardèche, se trouve au sud de l’appellation Saint-Joseph. Paul a fait ses classes auprès de René-Jean Dard et François Ribo, deux grandes figures du vin naturel en vallée du Rhône. Avec Chrystelle, il commence par récupérer la ferme de la famille de Paul avec deux ares de vigne, puis en 2004 la totalité du domaine, lequel compte à présent 4,3 hectares. Les cépages blancs sont situés autour de la maison, les cépages rouges sont plantés sur coteaux escarpés, entre 300 et 450 mètres d’altitude. Les parcelles reposent sur un socle de granit avec des sols légers : granits à micas noirs, schistes et gneiss. Tout est cultivé en bio (Écocert) avec pratiques biodynamiques. Les vignes sont soignées et fortifiées à l’aide de décoctions de plantes et d’argile. Les sols sont travaillés au cheval ou au treuil et à la pioche. Aucun intrant chimique n’est ajouté au travail viticole. Les vendanges sont entièrement manuelles.
Magnum La Petite Robe Blanc 2020,
Jean-Yves Péron
Il y a en fait deux cuvées différentes de La Petite Robe en une seule : la typicité ne sera pas la même selon le choix de contenant, magnum ou bouteille. Jean-Yves aime à parler d’exercice de style dans ce cas. Attachons-nous ici au magnum de 150 cl. La jacquère donne ici plutôt son côté minéral et floral avec une légère note oxydative, en plus de sa gourmandise et de son volume en bouche. Le vin offre des notes de fusain, de fruits blancs, un bel équilibre et une grande intensité. La Petite Robe est un vin blanc de macération idéal pour produits de la mer crus ou cuits, qu’il soulignera de sa droiture minérale. Merveilleusement friand et croquant, c’est encore une belle réussite de Jean-Yves Péron, qui cisèle ce cépage blanc typiquement savoyard avec la précision que donnent les sols calcaires. Les raisins proviennent en effet des parcelles d’Adrien Dacquin, sur sol calcaro-granitique du côté de Chambéry. Les vignes ont une cinquantaine d’années. La vendange passe en pressurage direct, et après fermentation, le vin s’affine une année en barriques de plusieurs vins. Pas de filtration, de collage ni d’ajout de sulfites.
Pour en savoir plus
Jean-Yves Péron incarne la renaissance en mode nature du beau vignoble savoyard, qui a longtemps pâti d’une image un peu fluette, insuffisamment prise au sérieux. Pourtant, quels trésors produisent ses sols à la pédologie variée et ses nombreux cépages anciens !
Près de Conflans, à Albertville (Savoie), Jean-Yves Péron associe avec talent une viticulture engagée et une vinification de négoce toutes deux sous le signe du nature et de la vigne bio d’altitude. D’abord destiné à une carrière dans la biochimie, il se laisse vite entraîner par la vigne et suit une formation d’œnologue à Bordeaux. Il a fait ses gammes de vigneron chez Thierry Allemand à Cornas, puis chez Bruno Schueller en Alsace, avant de séjourner quelque temps en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis. Le vignoble actuel de Jean-Yves, un hectare et demi en biodynamie depuis l’origine, se divise entre Conflans, près d’Albertville, et Fréterive, un peu en aval dans la vallée de l’Isère. Composé de microparcelles de vignes, il est étagé entre 350 m et 550 m d’altitude et entièrement travaillé à la main. Son activité de négoce, débutée en 2011, lui permet d’acheter la vendange de vignerons bio proches de chez lui (tel que Raphaël Marin et Adrien Dacquin). Aussi, la construction d’un nouveau chai en 2017 lui permet d’augmenter la production et de collaborer avec des vignerons d’Italie du Nord : Paolo Angelino à Casale Monferrato (Turin), Giorgio Barbero à Asti. C’est une nouvelle dimension donnée à son travail de vigneron, lui permettant de diversifier les terroirs et d’approfondir ses expériences de vinification et d’élevage.
Le travail vinicole de Jean-Yves Péron répond aux principes de l’intervention minimale. Sur des surfaces étroites et abruptes, ses vignes de montagne ne reçoivent aucun produit de synthèse, Jean-Yves leur préférant les purins de prêle et d’ortie. La végétation environnante est d’une grande richesse : elle protège les vignes et contribue à les fortifier. Les sols sont enherbés, fauchés et retravaillés à la pioche et au treuil. Les vendanges sont entièrement manuelles. Une fois encuvés en grappes entières, les raisins, en rouge comme en blanc, subissent une macération semi-carbonique qui permet d’extraire des arômes de fruits frais. Ce temps de macération varie entre cinq jours et neuf semaines en fonction des cuvées. La veille ou l’avant-veille du pressurage, Jean-Yves pratique un foulage aux pieds directement dans la cuve. Après cette fermentation, les moûts partent en fûts pour un élevage sur lies de douze mois en fûts de cinq cents litres de deux ou trois vins (pour limiter la sensation boisée), suivi d’un assemblage et d’un repos en cuve. Aucun sulfite n’est ajouté, ou le moins possible, et les vins ne subissent ni collage ni filtration.
Les Œillets Blanc 2020,
Jean-Yves Péron
Superbement structuré, Les Œillets offre de la mâche, de la texture, un toucher de bouche tannique et une note oxydative ménagée plus prononcée. La tension est forte, équilibrée par une note d’abricot. Boisé, doté d’une minéralité explosive et d’une belle tension, c’est un blanc de macération très atypique, aux notes aromatiques puissantes. On perçoit beaucoup de fruit et d’agrumes confits. C’est un blanc 100 % jacquère dont les vignes croissent sur terrain calcaire. C’est à peu près le même terroir que pour La Petite Robe mais Jean-Yves attend pour cette cuvée une maturité phénolique plus poussée afin d’obtenir une concentration tannique plus importante. Les parcelles sont donc vendangées plus tardivement. La macération, elle aussi, est plus poussée : quatre ou cinq jours de macération carbonique puis dix jours de pigeage. Après décuvage et pressurage, le vin est envoyé en barriques de 225 litres où il s’affinera au moins un an.
Pour en savoir plus
Jean-Yves Péron incarne la renaissance en mode nature du beau vignoble savoyard, qui a longtemps pâti d’une image un peu fluette, insuffisamment prise au sérieux. Pourtant, quels trésors produisent ses sols à la pédologie variée et ses nombreux cépages anciens !
Près de Conflans, à Albertville (Savoie), Jean-Yves Péron associe avec talent une viticulture engagée et une vinification de négoce toutes deux sous le signe du nature et de la vigne bio d’altitude. D’abord destiné à une carrière dans la biochimie, il se laisse vite entraîner par la vigne et suit une formation d’œnologue à Bordeaux. Il a fait ses gammes de vigneron chez Thierry Allemand à Cornas, puis chez Bruno Schueller en Alsace, avant de séjourner quelque temps en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis. Le vignoble actuel de Jean-Yves, un hectare et demi en biodynamie depuis l’origine, se divise entre Conflans, près d’Albertville, et Fréterive, un peu en aval dans la vallée de l’Isère. Composé de microparcelles de vignes, il est étagé entre 350 m et 550 m d’altitude et entièrement travaillé à la main. Son activité de négoce, débutée en 2011, lui permet d’acheter la vendange de vignerons bio proches de chez lui (tel que Raphaël Marin et Adrien Dacquin). Aussi, la construction d’un nouveau chai en 2017 lui permet d’augmenter la production et de collaborer avec des vignerons d’Italie du Nord : Paolo Angelino à Casale Monferrato (Turin), Giorgio Barbero à Asti. C’est une nouvelle dimension donnée à son travail de vigneron, lui permettant de diversifier les terroirs et d’approfondir ses expériences de vinification et d’élevage.
Le travail vinicole de Jean-Yves Péron répond aux principes de l’intervention minimale. Sur des surfaces étroites et abruptes, ses vignes de montagne ne reçoivent aucun produit de synthèse, Jean-Yves leur préférant les purins de prêle et d’ortie. La végétation environnante est d’une grande richesse : elle protège les vignes et contribue à les fortifier. Les sols sont enherbés, fauchés et retravaillés à la pioche et au treuil. Les vendanges sont entièrement manuelles. Une fois encuvés en grappes entières, les raisins, en rouge comme en blanc, subissent une macération semi-carbonique qui permet d’extraire des arômes de fruits frais. Ce temps de macération varie entre cinq jours et neuf semaines en fonction des cuvées. La veille ou l’avant-veille du pressurage, Jean-Yves pratique un foulage aux pieds directement dans la cuve. Après cette fermentation, les moûts partent en fûts pour un élevage sur lies de douze mois en fûts de cinq cents litres de deux ou trois vins (pour limiter la sensation boisée), suivi d’un assemblage et d’un repos en cuve. Aucun sulfite n’est ajouté, ou le moins possible, et les vins ne subissent ni collage ni filtration.
€151,00
Prix unitaire par€151,00
Prix unitaire parNuits Saint Georges Aux Croix Rouges Blanc 2020,
Frédéric Cossard
Une belle robe or soutenu, un nez magnifique, opulent, profond et capiteux, aux notes de fleurs blanches. En bouche, beaucoup de présence et une belle sensation miellée et briochée. Ce superbe nuits-saint-georges blanc séduit par sa rareté mais aussi par sa fraîcheur et son équilibre. Les Pinot blanc dont il est issu croissent sur des sols calcaires et marneux.
Pour en savoir plus
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
€50,00
Prix unitaire par€50,00
Prix unitaire parBourgogne Blanc Bigotes Qvevris Blanc 2020,
Frédéric Cossard
Les qualités organoleptiques et tactiles de Bigotes sont renforcées par l’élevage en qvevri, jarre en terre cuite enterrée de type géorgien, qui lui donne encore plus de soyeux et de velouté. L’attaque aromatique de ce vin blanc sec est nettement citronnée et se prolonge sur les fruits jaunes. En bouche, tension, ampleur, gourmandise, un peu de gras et beaucoup de persistance. Pour un bourgogne générique, il plane à belle hauteur. Élaboré sur une petite parcelle de chardonnay en appellation régionale Bourgogne, il est, en quelque sorte, le pendant blanc du rouge Bedeau.
Pour en savoir plus
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
€330,00
Prix unitaire par€330,00
Prix unitaire parMagnum Saint Romain sous le Château Clos du Cerisier Blanc 2020,
Domaine de Chassorney
Plein de fruit frais et de fleurs blanches odorantes (gardénia, jasmin…), élégant et dense… Minéralité, fraîcheur, puissance et longue garde, ce vin a tout pour plaire. Ce pur chardonnay provient d’une parcelle escarpée située entre 280 et 400 mètres d’altitude. Les sols y sont essentiellement marneux, calcaires et argileux. Après un pressurage direct, l’élevage est d’environ un an en barriques. Le format magnum permet au vin de jouer des coudes et de s’affiner en beauté.
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Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
Pauvre Diable Rouge 2020,
Domaine Serre Besson
Gourmand, profond et velouté, ce vin offre de jolis tannins fondus. Les notes de cerise noire et de mûre sont affirmées, le milieu de bouche est caractérisé par des touches d’épices et de rose. Un beau rouge nature du terroir de Vinsobres, à la robe rubis brillante et limpide. Ne vous laissez pas influencer par ce que vous lisez sur l’étiquette : Pauvre Diable, doté de toutes les grâces citées plus haut, ne fait aucunement pitié. Le nom fait allusion à l’état dans lequel Victor Taylor, l’actuel propriétaire du domaine Serre Besson, a trouvé le domaine quand il l’a racheté en 2011. Un travail de restauration du vignoble s’est ensuivi, ainsi qu’une conversion au bio qui donne aujourd’hui ses fruits : en l’occurrence cette cuvée nature, sans ajout d’intrant à la vigne ou au chai, pure expression des sols variés du domaine (sables, calcaires, argiles) et des plus anciennes vignes de grenache qui y sont plantées. Vous pouvez le boire dès à présent, dans sa jeunesse et sa fraîcheur, ou le laisser vieillir de trois à cinq ans.
Pour en savoir plus
En 2011, Victor, sommelier californien installé à Nyons après avoir quitté son poste de directeur de la restauration à l’hôtel Carlyle de New York, se prend de passion pour le domaine Serre Besson, alors petite propriété viticole à l’abandon, lovée autour d’une vieille bâtisse en pierre. Il rachète le tout, le rénove, et revitalise le vignoble. Quelques années plus tard, les vins rouges du domaine Serre Besson, en appellation Vinsobres, font parler d’eux, sont remarqués dans les concours et récoltent quelques médailles. Victor, dès sa reprise du domaine, a entrepris sa conversion à l’agriculture biologique, ce qui lui permet aujourd’hui de réaliser une cuvée entièrement nature à base de grenache : c’est le Pauvre Diable que nous vous proposons. En outre, il produit un vinsobres d’appellation d’origine dont l’encépagement rassemble syrah, cinsault, mourvèdre, carignan et grenache. Ainsi qu’un rosé ce macération à base de grenache noir, de syrah et de viognier. L’ambition du propriétaire n’est pas d’imposer un style nouveau mais de respecter le terroir et la nature dans un environnement qui offre toutes les possibilités pour faire des vins d’exception.
Ma' Carotte Blanc 2018,
Frédéric Gounan
Il fera face à toutes les occasions. Fruité, équilibré, frais et minéral, Ma’ Carotte est un vin orange — autrement dit un blanc de macération — d’Auvergne issu à parts égales de pinot gris et de sauvignon en pressurage direct. Profitez-en, Frédéric n’en fait pas tous les ans.
Pour en savoir plus
Issu d’une famille de paysans établie sur la commune de Saint-Sandoux (Puy-de-Dôme) depuis au moins deux siècles, Frédéric Gounan fut dans une première vie mécanicien et créateur de prototypes pour la marque française de motos Voxan, dont le siège était à Issoire. Il s’est détourné du monde industriel pour se consacrer au vin avec sa compagne Caroline. Il entend tirer partie des magnifiques terroirs de son village natal, bien loin de faire « pisser la vigne », comme on faisait autrefois : il constate que tout ce qui sort de cette terre possède des qualités gustatives exceptionnelles. Il reprend des parcelles de gamay d’Auvergne, plante d’autres cépages, et finit par produire des cuvées qui comptent parmi les plus savoureuses et les plus recherchées d’Auvergne. Sur cette terre de la chaîne des puys, les pinots noirs croissent sur des sols noirs basaltiques, les sauvignons et les pinots gris reposent sur des sols blancs argilo-calcaires cailloutés de basalte. Adepte de l’agriculture biologique et biodynamique, Frédéric applique également des méthodes qu’il juge appropriées au climat et au terroir : pour faciliter la photosynthèse dans ce climat rude et contrasté, il pratique le palissage en lyre qui permet d’aérer et d’exposer au soleil le feuillage des vignes, garantie de fruits mûrs à la vendange. Toujours mécanicien dans l’âme, il fabrique ses outils et bricole ses tracteurs selon ses besoins. Ses vins sont rares et distingués, très recherchés des amateurs : à petit domaine (moins de deux hectares), petite production (par le volume, non par l’esprit).
Sylvaner Nature Blanc 2020,
Les Spontanés de GILG
La robe de ce beau sylvaner sec nature est jaune pâle avec des reflets dorés. Le nez est puissant, complexe, chargé d’arômes de fruits à noyau bien mûrs. En bouche, il est rond, sphérique, poli, généreux, légèrement gras, sur des notes de pamplemousse et de pêche. Finale longue et pleine de saveur. Au sein de la gamme variée de vins réalisée par la famille Gilg, la série Les Spontanés est consacrée aux vins nature, sans ajout d’intrants ni de sulfites à la vigne ou au chai. Ce pur sylvaner est issu de vignes jeunes, âgées de huit ans ; il est prêt à boire dès à présent et sera idéalement servi entre 8 et 10 °C.
Pour en savoir plus
Appartenant à une famille établie depuis 1601 dans le village viticole alsacien de Mittelbergheim, le domaine Armand Gilg porte le nom de son fondateur, qui orienta résolument l’activité familiale vers la viticulture en 1937. Depuis, les Gilg restent aux commandes, ont agrandi le vignoble d’un hectare initial à vingt-neuf hectares, acheté des caves pluricentenaires pour les bouteilles et les foudres, et construit des bâtiments pour le pressurage et d’autres activités de vinification. Le domaine, classé en HVE (Haute Valeur Environnementale) pendant plusieurs années, a acquis en 2021 la certification d’agriculture biologique. Ses parcelles, disséminées autour du village, se regroupent en une centaine d’ensembles, dont cinq hectares sur le fameux Grand Cru de Zotzenberg, un des lieux-dits les plus réputés d’Alsace, et un hectare uniquement planté de riesling sur le Grand Cru Moenchberg. La production embrasse tous les sept cépages traditionnels alsaciens (pinot noir, sylvaner, auxerrois, riesling, muscat, pinot gris et gewurztraminer), incluant aussi le chardonnay pour les crémants et le klevener de Heiligenstein (savagnin rose). Si toutes les cuvées du domaine Gilg sont en bio, deux cuvées nature sont réalisées, l’une à base de pinot noir, l’autre à base de sylvaner, au sein de la série Les Spontanés dédiée aux vins sans intrants.
€143,00
Prix unitaire par€143,00
Prix unitaire parJuliette Blanc 2015,
Jean-Pierre Robinot
Cent pour cent chenin, Juliette (qui doit son nom à Juliette Robinot, la fille du vigneron) est sec et doté d’une belle fraîcheur. C’est une remarquable expression du cépage, issue de vignes plus que centenaires. La vendange est tardive, marquée par le botrytis (pourriture noble). Après un pressurage direct en barriques, le vin fermente et s’affine pendant plus de six ans dans le même contenant. Un vin rare, à chérir.
Pour en savoir plus
Quiconque s’intéresse au vin naturel en France a forcément croisé un jour Jean-Pierre Robinot et n’a jamais oublié cette silhouette souriante et bondissante. Force est de constater que si l’on n’a pas encore réussi à prouver que tous les vins ressemblent à leur vigneron (étude à entreprendre), les crus réalisés par Jean-Pierre, chaleureux, aimables et lumineux, sont à l’image de leur auteur. Après avoir tenu pendant près de quinze ans le bar à vins L’Ange Vin rue Richard-Lenoir, dans le XIe arrondissement de Paris, Jean-Pierre est retourné dans son Chahaignes natal, petit village du sud de la Sarthe, aux confins de l’Anjou et de la Touraine. Son rêve est d’acquérir son vignoble et de faire des vins sans soufre. Il récupère des friches en coteau, sur de grands terroirs, ainsi que des caves troglodytes creusées dans le tuffeau. 2002 sera son premier millésime. En parallèle, sous la marque L’Opéra du vin, il vinifie des raisins achetés à des vignerons locaux. Jean-Pierre Robinot pratique une viticulture biologique exigeante, sans désherbage chimique. Le sol est travaillé et amendé au moyen de composts naturels. Toutes les vendanges, pratiquées à maturité sur des raisins sains, sont faites à la main. Le lieu et la climatologie favorisent la pourriture noble.
€143,00
Prix unitaire par€143,00
Prix unitaire parJuliette Blanc 2018,
Jean-Pierre Robinot
Cent pour cent chenin, Juliette (qui doit son nom à Juliette Robinot, la fille du vigneron) est sec et doté d’une belle fraîcheur. C’est une remarquable expression du cépage, issue de vignes plus que centenaires. La vendange est tardive, marquée par le botrytis (pourriture noble). Après un pressurage direct en barriques, le vin fermente et s’affine pendant plus de six ans dans le même contenant. Un vin rare, à chérir.
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Quiconque s’intéresse au vin naturel en France a forcément croisé un jour Jean-Pierre Robinot et n’a jamais oublié cette silhouette souriante et bondissante. Force est de constater que si l’on n’a pas encore réussi à prouver que tous les vins ressemblent à leur vigneron (étude à entreprendre), les crus réalisés par Jean-Pierre, chaleureux, aimables et lumineux, sont à l’image de leur auteur. Après avoir tenu pendant près de quinze ans le bar à vins L’Ange Vin rue Richard-Lenoir, dans le XIe arrondissement de Paris, Jean-Pierre est retourné dans son Chahaignes natal, petit village du sud de la Sarthe, aux confins de l’Anjou et de la Touraine. Son rêve est d’acquérir son vignoble et de faire des vins sans soufre. Il récupère des friches en coteau, sur de grands terroirs, ainsi que des caves troglodytes creusées dans le tuffeau. 2002 sera son premier millésime. En parallèle, sous la marque L’Opéra du vin, il vinifie des raisins achetés à des vignerons locaux. Jean-Pierre Robinot pratique une viticulture biologique exigeante, sans désherbage chimique. Le sol est travaillé et amendé au moyen de composts naturels. Toutes les vendanges, pratiquées à maturité sur des raisins sains, sont faites à la main. Le lieu et la climatologie favorisent la pourriture noble.