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1556 produits
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Bianco Blanc 2012, Le Coste
Ce simplissime blanc italien est issu d’un assemblage de procanico et de malvasia cultivés sur les sols volcaniques du Latium, aux confins de la Toscane et de l’Ombrie. Les raisins sont légèrement foulés aux pieds puis immédiatement pressés. Le premier moût débourbe quelques jours avant d’être transféré au fond de la cave, dans une grotte naturelle, où il fermente lentement en foudre de chêne français pendant environ un an. Une délicate robe ambrée, pour un vin au nez élégant et vif qui se prolonge en bouche par des notes de fruits jaunes, sublimées au format magnum.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
€34,50
Prix unitaire par€34,50
Prix unitaire parL'Opéra des Vins Lumière des sens Rouge 2020,
Jean-Pierre Robinot
Ce vin rouge 100 % pineau d’Aunis, d’une grande élégance, s’affirme par une bouche fraîche et fruitée, une belle robe jaune paille, des arômes raffinés de fruits rouges et noirs — cassis, groseille, myrtille — et des notes réglissées d’épices et de poivre blanc. Légèrement perlant, il se caractérise par des tannins soyeux et beaucoup d’intensité. Il est issu de vendanges manuelles de vignes de quarante ans et de vinification naturelle par fermentation spontanée avec levures indigènes et lente macération en grappes entières. Aucune filtration, aucune clarification, aucun ajout de sulfites. L’élevage est de vingt-quatre mois en fûts de chêne de plusieurs vins. Carafage d’une heure conseillé.
Pour en savoir plus
Quiconque s’intéresse au vin naturel en France a forcément croisé un jour Jean-Pierre Robinot et n’a jamais oublié cette silhouette souriante et bondissante. Force est de constater que si l’on n’a pas encore réussi à prouver que tous les vins ressemblent à leur vigneron (étude à entreprendre), les crus réalisés par Jean-Pierre, chaleureux, aimables et lumineux, sont à l’image de leur auteur. Après avoir tenu pendant près de quinze ans le bar à vins L’Ange Vin rue Richard-Lenoir, dans le XIe arrondissement de Paris, Jean-Pierre est retourné dans son Chahaignes natal, petit village du sud de la Sarthe, aux confins de l’Anjou et de la Touraine. Son rêve est d’acquérir son vignoble et de faire des vins sans soufre. Il récupère des friches en coteau, sur de grands terroirs, ainsi que des caves troglodytes creusées dans le tuffeau. 2002 sera son premier millésime. En parallèle, sous la marque L’Opéra du vin, il vinifie des raisins achetés à des vignerons locaux. Jean-Pierre Robinot pratique une viticulture biologique exigeante, sans désherbage chimique. Le sol est travaillé et amendé au moyen de composts naturels. Toutes les vendanges, pratiquées à maturité sur des raisins sains, sont faites à la main. Le lieu et la climatologie favorisent la pourriture noble.
€13,50
Prix unitaire par€13,50
Prix unitaire parFond 1er Jus Rouge 2021,
Fond Cyprès
Premier Jus est l’image même du glouglou qui fait plaisir : une bombe juteuse qui oscille entre le rouge clair et le rosé sombre. Frais, fruité, délicieux, addictif, il réveille l’esprit assoupi par les chaleurs estivales. Il résulte d’un assemblage de carignan et de grenache croissant sur sols marno-calcaires. Les deux vendanges sont traitées séparément : le carignan est macéré deux jours en grappes entières, puis ajouté au moût de grenache en presse directe et en cours de fermentation. Le tout est pressé directement. Un élevage de six mois en barriques précède une mise en bouteilles sans ajout de sulfite.
Pour en savoir plus
Ce domaine des Corbières repose sur des bases solides : ses deux vignerons, Rodolphe et Laetitia, sont aussi descendants de vignerons. Avant même de planter leur premier cep, ils ont déjà un objectif bien affirmé : « élaborer des vins du Sud qui nous ressemblent, des vins de caractère attachés à nos sols, avec de la fraîcheur et des tannins affinés ». Ils veulent obtenir des vins entièrement naturels, des concentrés de terroir. Au cœur du vieux massif des Corbières, ils reprennent un vieux cœur de domaine déjà planté de carignans et de grenaches à l’abandon, qui n’ont vu ni engrais ni pesticide depuis des années : ces sols propres et vivants sont une condition idéale pour se lancer dans le vin naturel. Autour de ce cœur historique, ils plantent d’abord grenaches noirs et syrahs, puis une parcelle de cépages blancs : viognier, grenache blanc, roussanne. Le domaine est certifié Écocert depuis 2010 et obéit également à la charte Nature & Progrès. Les vinifications se font sans ajout de sulfite ni levures exogènes. « Nous faisons des vins de plaisir », disent Laetitia et Rodolphe. Pour eux, le vin naturel s’évalue d’abord au goût, dès la vendange. Les cuvées suivent de très près le parcellaire, les moûts sont fruités, fluides, complexes. Les vins de Fond Cyprès évoquent de façon poétique l’écosystème du domaine et la végétation qui protège les parcelles : les pinèdes, les sources ombragées, la beauté du milieu naturel qui apporte aux vins fraîcheur et appose la signature du sol. Délicieusement équilibrés entre empreinte minérale, milieu végétal et expression du fruit, les vins de Fond Cyprès reflètent le Midi : la caresse de son soleil, mais aussi la fraîcheur de ses ombres.
Cuvée YARD II (cuvée exclusive) Rouge 2021
Aubert & Mathieu
Nous sommes heureux de vous présenter la cuvée YARD II, conçue et réalisée en viticulture biologique et nature (labels AB, Eurofeuille, B-Corp…) par la maison de négoce carcassonnaise Aubert et Mathieu. Il s’agit d’un vin rouge du Languedoc-Roussillon en appellation IGP Pays d’Oc, issu d’un partenariat exclusif entre Aubert et Mathieu et YARD-Culinaries.
Vinification
L’assemblage se compose de grenache (60 %) et de syrah (40 %) croissant sur sols argilo-calcaires. Les vinifications durent environ trois semaines et l’élevage se fait en cuve de béton pendant six mois. Aucun sulfite n’est ajouté à la vinification ni à la mise en bouteilles.
Dégustation
Un vrai vin du Sud, du pays d’Oc, avec la plénitude du grenache et la profondeur de la syrah. Belle robe rubis, beaucoup de fruits rouges (cerise, fraise), un peu de violette et d’épices douces, une structure fraîche, une belle matière et une belle longueur en bouche. Avec ces tannins croquants et poivrés, vous vous régalerez de porc rôti, de charcuteries, de salaisons et de cuisines méditerranéennes telles que pizza, pâtes à la sauce tomate ou tapas élaborées.
En savoir plus sur Aubert et Mathieu
Aubert et Mathieu est une marque de négoce située à Carcassonne, aux mains d’Anthony et Jean-Charles. Innovant dans les formes aussi loin que possible — cela passe par le graphisme des étiquettes éco-conçues et un certain mélange des genres —, ils proposent de vrais vins de terroir (avec ou sans appellation) réalisés dans le respect de l’environnement, en viticulture biologique et parfois nature. Le nature étant notamment représenté par la cuvée YARD, réalisée en partenariat avec YARD-Culinaries.
Méthodologie
Aubert et Mathieu achète des raisins biologiques à une trentaine de viticulteurs du Languedoc et du Roussillon : cépages locaux (syrah, mourvèdre, grenache, carignan…), chardonnay, sauvignon… La maison observe une grande vigilance sur le processus, choisit le degré de maturité des raisins (pas trop mûrs), et réalise les vins dans les chais mêmes des viticulteurs. Ils comptent à leur collection de labels bio et écoresponsables celui de B-Corporation, un des plus exigeants au monde.
Un vin durable et novateur
Anthony et Jean-Charles ont à cœur de proposer des vins « durables » et de qualité supérieure (« premium »), affirmant leur dévouement à la protection de la planète. Même si l’une de leur cuvées a été réalisée avec l’aide de ChatGPT, les traditions viticoles languedociennes ne sont pas perdues de vue, (on notera que le nom de cette cuvée, The End, fait allusion au limites qu’ils ont eux-mêmes trouvées à la démarche).
Boujulais Nouveau Rouge 2021,
Patrick Bouju
Chez Culinaries, on fête le Boujulais Nouveau ! Un vin primeur produit par Patrick Bouju lui-même en 100 % gamay. Un vin rouge jeune et pourtant réussi, frais et gouleyant, festif.
Vous voulez déguster le Boujulais nouveau et rencontrer Patrick Bouju ?
Rendez-vous au YARD Mont-Louis à Paris le jeudi 18 novembre à partir de 18h !
Au bar (sans réservation), vous pourrez déguster le précieux jus et causer avec son auteur. Au restaurant, un menu unique spécial a été créé pour l’occasion : des accords mets-vins 100 % Patrick Bouju tout au long du repas, pour célébrer comme il se doit !
Pour en savoir plus sur l’actualité du YARD Mont-Louis
Paradoxe Rouge 2017
Sébastien Morin
Un pur gamay qui, comme son nom l’indique, fait légèrement sortir le beaujolais de sa zone de confort en ajoutant quelques aspérités à son amabilité naturelle. À la fois fruité et puissant, il est aussi friand, gouleyant et gourmand. Finesse, équilibre, profondeur, haute buvabilité. À table, il se fait moins paradoxal et se plie à tous les accords, notamment aux Viandes Rouges.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
In a Gadda da Vida Blanc 2020,
La Senda
La Bodega La Senda est la création de Diego Losada, enfant du Bierzo, une région au nord-ouest de la province de León, bordée au nord par les Asturies et à l’ouest par la Galice. Les pèlerins qui se rendent à Compostelle par le Camino francés ou le Camino de invierno peuvent admirer ses magnifiques paysages où d’anciennes parcelles de vigne couvrent les sommets des collines. La viticulture remonte à l’époque romaine, mais la région fut à tel point traumatisée par la crise du phylloxéra qu’on n’y replanta la vigne qu’à partir du milieu du XXe siècle, sans arrachages massifs, ce qui donne à ces vignes une moyenne d’âge de quarante à soixante-dix ans. Né à Ponferrada, dans le Bierzo du Nord, Diego n’a jamais été adepte du compromis. Résolument radical, épris de liberté et de rigueur, il applique d’abord cette disposition à la musique dans le groupe de heavy metal qu’il forme avec ses camarades de lycée. C’est au vin, plus tard, qu’il consacrera cette même passion, étudiant la chimie organique à l’université et s’initiant aux aspects scientifiques de la viticulture. Mais la rigidité scientifique et les méthodes conventionnelles, découvertes sur quelques domaines où il travaille, ne le satisfont pas. Attiré par une viticulture plus proche de la terre, Diego récupère quelques parcelles pour mettre en valeur, le plus naturellement possible, le terroir du Bierzo. En 2012, il crée à la périphérie de sa ville natale le domaine La Senda, dont le nom signifie « le sentier ». Ses vins seront comme lui : honnêtes, francs, naturels et expressifs. Non gratifiés de l’appellation d’origine, ils sont le pur reflet de leurs sols et de leur climat, de la personnalité et de l’énergie de leur créateur.
Ce vin, le seul blanc de ce domaine, se compose pour moitié de cépage godello, le reste étant constitué de doña blanca, de palomino et de malvasia (malvoisie), le tout provenant de plusieurs parcelles anciennes dont les vignes sont âgées de soixante-dix à quatre-vingt-dix ans. Il s’ajoute à tout cela une petite proportion d’un cépage mystère en cours d’identification par Diego. Le vignoble se trouve dans le nord du Bierzo, sur sols argilo-calcaires quartzeux, à 550 mètres d’altitude. Les raisins macèrent dix jours dans de vieux fûts de chêne et de châtaignier ouverts, puis le vin est élevé en fûts de chêne français pendant cinq mois. Aucune filtration n’est faite, aucun sulfite n’est ajouté. C’est un beau blanc de soif et de caractère à la robe or et aux notes de fruits jaunes, bien sec avec un certain gras et une note oxydative due à l’élevage en fûts ouverts. Sa longueur en bouche et sa typicité « quatrième dimension » justifient le nom de la cuvée : celui d’une chanson du groupe californien Iron Butterfly (1968) qui, longue de dix-sept minutes, lança la mode des morceaux psychédéliques interminables des années 70. À servir bien frais à l’apéritif, par exemple.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Grande Pestilence Rouge 2019
La Sorga
Antony Tortul aime les vieux vignobles : il consacre sa vie à les trouver et à les vinifier. Comme il existe des bergers sans terre, on peut le définir comme un vigneron sans terre, autrement dit un négociant vinificateur dont l’aire d’action s’étend sur tout le Languedoc et, vers l’est, jusqu’à Châteauneuf-du-Pape, à la recherche des meilleurs terroirs. Né à Foix, riche d’une expérience de six années en tant que technicien viticole et œnologue dans divers vignobles du sud de la France, il a créé La Sorga en 2008. Son enthousiasme le mène sur une trajectoire faite de coups de cœur, et chacun de ces coups de cœur est un vignoble. Le résultat est une étourdissante mosaïque de vins naturels, vivants et pleins d’esprit, qui se réinvente chaque année avec une trentaine de cuvées par millésime. Peu de vignerons peuvent inscrire à leur tableau une telle variété de cépages : tout le Sud français y passe avec muscats, grenaches, picpoul, mauzac, carignan, cinsault, marsanne, alicante, braucol, duras, viognier, len-de-l’el, e tutti quanti.
L’étiquette et le nom aux connotations pestilentielles ne doivent pas faire passer ce vin pour ce qu’il n’est pas : nul remugle morbide ne viendra troubler votre expérience une fois la bouteille ouverte. Le nez, au contraire, est d’une grande complexité aromatique : fruits noirs, humus, poivre blanc, pivoine, et en bouche les écorces d’agrumes typiques des terrains schisteux de la région de Faugères et notamment de Cabrerolles, dont ce vin est issu. La texture est tout en rondeur, la finale est longue et déjà très droite ! Pas de sulfites, pas de filtration, rien d’autre d’ailleurs. L’assemblage est à base de soixante pour cent cinsault (vignes de soixante-cinq ans), de vingt pour cent de grenache (vignes de soixante-cinq ans) et de vingt pour cent de carignan (vignes de soixante-cinq ans). La vinification se fait en grappes entières en quasi-infusion pendant soixante jours pour le cinsault et quarante-cinq jours pour les autres cépages. Une fois le tout assemblé, l’élevage est d’un an en cuves. Il se gardera bien une bonne dizaine d’années.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Le Zudefruit Rouge 2020
Jérome Lambert
Délicieux, délectable, un vrai plaisir. Une belle robe rouge sombre, au nez des arômes de fruits rouges ; en bouche, beaucoup de souplesse, de vivacité et de brillance, des notes herbacées et une gourmandise un brin canaille. Avec un bel équilibre entre notes fruitées et notes terriennes, épicées, poivrées, le Zudefruit laisse beaucoup plus qu’un cheveu sur la langue. Ce vin est issu d’une parcelle de grolleau cultivé sur sols sableux et légers en plein cœur de l’Anjou. La vendange, manuelle, fermente en grappes entières pendant deux semaines avant pressurage, puis elle repose neuf mois en cuves de fibre de verre.
Pour en savoir plus
Sur son domaine de quatre hectares, entièrement biologique et planté de chenin, de grolleau, de gamay et de cabernet franc, Jérôme est vigneron autant qu’il est fermier : il élève poules, cochons, moutons et prend très à cœur cette activité de polyculture-élevage, doublée de la fabrication de charcuteries bien angevines. Son Eden ligérien, en effet, est situé au sud de l’Anjou, à Rablay-sur-Layon. Fils de vigneron, tout petit, il s’amusait déjà à cueillir des raisins, à les fouler et à les laisser fermenter. L’envie de faire du vin ne l’a jamais quitté, en fait : en 2003, il met la main à la pâte, prend part à la taille des vignes chez Philippe Cesbron et en profite pour se faire la main avec quelques raisins donnés par des vignerons locaux. L’année suivante, son aventure commence vraiment avec vingt ares de vignes, mais si son domaine s’agrandit d’année en année, il n’atteindra l’hectare qu’au bout de quinze ans. En 2003, il découvre que l’ajout de sulfite nuit aux vins : il n’en ajoutera jamais plus et se trouvera tout à fait satisfait du résultat, sans trop ébruiter la chose autour de lui. Ce n’est qu’un peu plus tard qu’il apprendra l’existence des vins nature et comprendra qu’il n’est pas seul. Toutes ses cuvées, depuis, sont sans soufre ajouté, et n’en sont pas moins droites, buvables et sans défaut. Pour lui, même le bois des barriques est un additif ; c’est dire l’attention qu’il porte au naturel et à la vérité de la vigne.
Volnay Rouge 2020,
Domaine de Chassorney
Au nez, de belles notes de fruits rouges (fraise), d’épices et de fruits confits. En bouche, de la chaleur, de la puissance, avec des arômes floraux et une grande minéralité en finale. Ce vin chaleureux et droit en appellation Volnay, aux notes de fruits rouges et de fruits noirs, se révèle en bouche équilibré et vif, avec de jolies notes doucement épicées. Il est issu de vieilles vignes de pinot noir croissant en bas de coteau, sur des sols denses et caillouteux à base d’argile rouge ferrugineuse et de calcaire. Les parcelles sont pentueuses, exposées ouest-sud-est et situées entre 230 et 280 mètres d’altitude. Les vignes sont travaillées à cheval, dans le respect des sols et de la terre. Les vendanges sont manuelles et sont réalisées à pleine maturité des raisins. Les raisins macèrent en grappes entières. L’élevage est d’environ un an en barriques.
Pour en savoir plus
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
€49,50
Prix unitaire par€49,50
Prix unitaire parMonbazar blanc liquoreux 2018,
Château Barouillet
Un monbazillac dont la robe dorée, presque ambrée, paraît celle d’un vin de vingt ans. Il se compose de chenin (50%), muscadelle (30%), ondec (5%) cultivés sur sols argilo-calcaires. Le pressurage est lent et patient, par cycles de cinq heures, et la fermentation est réalisée par les levures naturelles des raisins. La fermentation est également longue : douze mois. Elle confère au vin un nez plein et riche : miel, fruits confits, fleurs blanches. Lorsque l’équilibre alcool-sucres résiduels est atteint, la filtration est employée pour stopper la fermentation, ce qui permet de limiter très fortement les doses de SO2 sans risque de refermentation. Vin ample, soyeux, rond, avec une pointe d’acidité qui lui confère une légèreté apte à affronter tous les accords gustatifs : volailles, cuisines du Maghreb ou d’Orient, etc. Potentiel de garde immense, mais ces liquoreux équilibrés peuvent être bus jeunes, quand ils débordent de fraîcheur et de fruit, aussi bien qu’évolués sur quinze ou vingt ans, quand ils deviennent très concentrés et prêtent à la méditation. Déguster à 7-8 °C.
Va avec : Desserts aux fruits, Fromages corsées, Viandes Blanches, Desserts, Fromages
VNB Vinel lo Blanc 2020
Partida Creus
Belle maturité, caractère tranchant et acidité caractéristique du domaine Partida Creus. Taillé pour les fruits de mer, ce blanc très frais, facile à boire (dix degrés d’alcool), résulte d’une très légère macération de cépages catalans autochtones : garnatxa blanca, macabeu, moscatell, vinyater, xarel·lo, parsé et parellada.
Pour en savoir plus
Partida Creus est un domaine important, tant sur le plan vinique que sur le plan historique – nous parlons ici de l’histoire de la vigne en Catalogne. Massimo Marchiori et Antonella Gerosa, Piémontais d’origine – et même venant de la région des Langhe, où l’on s’y connaît en vins –, mènent d’abord une carrière d’architectes à Barcelone. Mais le virus du vin les chatouille, et bientôt ils abandonnent la grande ville et sa sophistication pour les vignes de la Catalogne méridionale, à Bonastre en Baix-Penedés. Ils y trouvent une quantité de vignobles abandonnés plantés d’une étourdissante diversité de cépages traditionnels catalans qu’ils reprennent avec passion pour sauver ces variétés – et leurs vins – de l’oubli. De leur part, ce n’est pas seulement une affaire de sauvetage patrimonial, non : c’est une affaire de goût et de nature. De vins nature, qu’ils ne cesseront de faire désormais sur ces terres sableuses, pauvres, argilo-calcaires ou argilo-graveleuses, pauvres et peu irriguées, où la vigne souffre pour donner son meilleur jus. Massimo et Antonella pratiquent une viticulture bio, biodynamique, entièrement manuelle et naturelle afin de donner une nouvelle vie à ces vins. Vinyater, sumoll, garrut, monastrell, ull de perdiu, ull de llebre, sumoll, queixal de llop, cariñena, trepat, subirat parent, maccabeu, parellada, pansé, vinel.lo, bobal, cartoixà vermell ou xarel.lo : c’est un véritable conservatoire des cépages autochtones catalans que soigne Partida Creus. On y trouve aussi du moscatel, du grenache, du merlot et du cabernet (entre autres). Peu de domaines viticoles peuvent se vanter de cultiver autant de cépages différents. Les vins reflètent cette diversité, les vignerons s’appliquant à transmettre le mieux possible la signature du sol et du cépage : le monocépage est fréquent chez eux, voisinant avec des assemblages très fournis, le tout dans les styles chers à la Catalogne : vin tranquille, vin pétillant de type « ancestral », et même vermouth. Les bouteilles en soi sont des œuvres d’art : en verre nu, simplement marqué de deux grandes initiales au pochoir qui signalisent la cuvée. Les vins, frais, vibrants, luxuriants mais toujours droits et impeccablement juteux et fruités, respirent la vie. L’arrivée à table d’un Partida Creus suscite toujours des cris de satisfaction.
Feu III Blanc 2019,
La Sorga
Antony Tortul aime les vieux vignobles : il consacre sa vie à les trouver et à les vinifier. Comme il existe des bergers sans terre, on peut le définir comme un vigneron sans terre, autrement dit un négociant vinificateur dont l’aire d’action s’étend sur tout le Languedoc et, vers l’est, jusqu’à Châteauneuf-du-Pape, à la recherche des meilleurs terroirs. Né à Foix, riche d’une expérience de six années en tant que technicien viticole et œnologue dans divers vignobles du sud de la France, il a créé La Sorga en 2008. Son enthousiasme le mène sur une trajectoire faite de coups de cœur, et chacun de ces coups de cœur est un vignoble. Le résultat est une étourdissante mosaïque de vins naturels, vivants et pleins d’esprit, qui se réinvente chaque année avec une trentaine de cuvées par millésime. Peu de vignerons peuvent inscrire à leur tableau une telle variété de cépages : tout le Sud français y passe avec muscats, grenaches, picpoul, mauzac, carignan, cinsault, marsanne, alicante, braucol, duras, viognier, len-de-l’el, e tutti quanti.
Deux terroirs ont contribué à ce vin blanc très méridional : les calcaires villafranchiens de Pézenas, dans la vallée de l’Hérault, et les sols argilo-calcaires de Marseillan, sur la côte languedocienne. L’assemblage se compose à quatre-vingts pour cent de grenache blanc (vignes âgées de soixante ans) et pour le reste de grenache gris (vignes âgées de vingt ans). Les deux grenaches sont vinifiés séparément en « trempette » (macération de baies ou de grappes entières dans le moût obtenu en presse directe), vingt jours pour le grenache blanc et quinze jours pour le grenache gris. L’élevage est de sept mois en cuve. Avec un nez de poire, légèrement fenouillé, un poil camphré, avec les notes délicieuses de l’infusion, on sent que ce vin est taillé pour les poissons grillés et les plats marins du littoral languedocien. La bouche est pleine, ronde, très énergique, aromatique, également portée sur les fruits blancs.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
€102,00
Prix unitaire par€102,00
Prix unitaire parNuits Saint Georges Les Charmottes Qvevris Rouge 2019,
Frédéric Cossard
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
Voici un pinot noir issu de la parcelle Les Charmottes en appellation Nuits-Saint-Georges ; ses sols sont profonds, de type calcaire. Le terme « charmottes » ou « charmes », en parler bourguignon, désigne des terres en friche. Ce vin est profond, aromatique, avec des notes de pivoine et de violette. Les fruits noirs sont caractéristiques de ce climat : mûre, cassis. Le toucher du vin est souple, satiné.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
€33,00
Prix unitaire par€33,00
Prix unitaire par
€105,00
Prix unitaire par€105,00
Prix unitaire parGevrey Chambertin les Genevrières Qvevris Rouge 2019,
Frédéric Cossard
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne-Hautes-Côtes-de-Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
Fruits noirs, cassis, mûre, pivoine, rose rouge sombre… Ce gevrey-chambertin est issu de vignes croissant sur le très beau vignoble des Genevrières, qui repose sur socle calcaire. La vinification en qvevri (jarre enterrée) commence par deux semaines de macération en grappes entières, suivie d’un pressurage doux pour conserver le fruit. La terre cuite donne encore plus de velouté, de sensualité et de complexité à un vin qui en offrait déjà beaucoup.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.