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Prix unitaire parBeaujolais Villages Smack (cuvée exclusive) Rouge 2023,
Un hommage vibrant à la fraîcheur et à la typicité du Gamay
Le Beaujolais Villages Smack 2023, élaboré par Nicolas Chemarin, est une cuvée exclusive qui capture l'essence du terroir granitique du Beaujolais. 100 % Gamay, ce vin rouge AOC Beaujolais Villages se distingue par sa vivacité, son élégance et son approche moderne de la tradition. Il est vinifié selon des méthodes ancestrales, avec une macération semi-carbonique de 15 jours réalisée avec des grappes entières, suivie d’un élevage soigné de 11 mois en cuve béton.
Une dégustation fraîche et expressive
Le Smack 2023 séduit dès l’ouverture par ses arômes éclatants de fraise, de framboise et de fruits rouges croquants, rehaussés de subtiles notes florales et végétales. En bouche, il offre une texture souple et soyeuse, soutenue par une acidité vive qui lui confère une fraîcheur irrésistible. La finale, délicate et persistante, reflète à merveille les caractéristiques du Gamay et les nuances minérales des sols granitiques.
Un compagnon idéal pour la convivialité et la gastronomie
Cette cuvée versatile s’accorde parfaitement avec une large gamme de mets. Elle sublimera des charcuteries fines, des Viandes Blanches comme un poulet rôti, ou des plats plus rustiques tels qu’un civet de volaille. Sa fraîcheur et son fruité en font également un choix idéal pour un apéritif entre amis ou des repas décontractés.
Servi entre 12 et 14°C, sans besoin de carafage, le Beaujolais Villages Smack est prêt à être dégusté dès aujourd’hui. Son potentiel de garde de 5 ans permettra également d’en apprécier l’évolution, avec des arômes plus profonds et complexes.
Régnié la haute ronze Rouge 2017
Nicolas Chemarin
La Haute Ronze est l’une des deux parcelles que cultive Nicolas en appellation Régnié ; elle est considérée comme de très haute qualité, avec des sols argileux et profonds qui donnent des vins charpentés. Ce 100 % gamay est obtenu en macération semi-carbonique et élevé environ vingt mois (à moitié en barrique, à moitié en cuve inox). Il offre des notes de cuir, de terre, d’herbes méditerranéennes (origan, romarin), à travers ses fruits rouges.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Fleurie Grand-Pré Rouge 2019,
Domaine Bélicard
Nichée au cœur du Beaujolais, l’appellation Fleurie AOP est réputée pour ses vins élégants et floraux. Le Domaine Bélicard, certifié en agriculture biologique (AB), nous livre ici une cuvée d’une finesse remarquable, issue de vieilles vignes de 36 ans implantées sur des sols granitiques.
Un Fleurie tout en élégance et en profondeur
Vinifié en macération traditionnelle en grappes entières dans d’anciennes cuves en bois, ce vin bénéficie d’une extraction douce, respectant toute la délicatesse du Gamay Noir. Son élevage de 4 jours préserve la fraîcheur et l’expression pure du terroir.
Un nez floral et une bouche ample
Dès le premier nez, ce Fleurie bio dévoile des arômes profonds de fruits rouges confits, rehaussés de notes florales et épicées. En bouche, l’équilibre est parfait entre rondeur et finesse, avec une finale élégante et persistante.
Avec quoi déguster ce vin?
Idéal à 14-16°C, ce vin accompagne à merveille poissons grillés, salades et barbecue. Son potentiel de garde de 5 ans permettra une belle évolution aromatique.
Vagabond Rouge 2022
Benoit Camus
Vagabond est un vin rouge biologique (Ecocert) et nature du Beaujolais, réalisé par Benoît Camus à base de gamay. Ce Vin de France est produit au sud de l’appellation, sur le terroir des Pierre dorées. Son nom évoque la vie de saisonnier agricole qui était celle du vigneron avant l’achat de ses vignes en Beaujolais.
Vinification
Croissant sur sols argilo-calcaires, les vignes de gamay du Beaujolais sont cultivées et vendangées manuellement, le terrain escarpé interdisant toute mécanisation du travail. La vendange passe en macération semicarbonique de quinze jours. L’élevage, en cuve de béton, est de douze mois.
Dégustation
Deux cuvées de Benoît Camus sont pour le moment disponibles, celle-ci est la plus « douce » des deux. C’est un beaujolais biologique et nature au fruité riche et éclatant — fraise, framboise, canneberge, cerise, groseille — que nous conseillons de boire bien frais. L’acidité et la fraîcheur sont remarquables, et le vin offre des notes d’humus et de pierre mouillée. Une touche d’épices : noix de muscade. C’est un vin très aromatique, un charmeur qui appréciera de côtoyer des charcuteries, des salaisons, des Viandes Rouges et des volailles rôties.
En savoir plus sur Benoît Camus
On pourrait le croire itinérant, avec ses cuvées nommées « Château roulant » ou « Vagabond », mais pour Benoît Camus, c’est un souvenir de sa vie d’avant, quand il était saisonnier agricole en vallée du Rhône et jusqu’en Roussillon. Depuis 2003, il s’est fixé en Beaujolais du Sud, sur le terroir des Pierres dorées, pour y faire des vins biologiques (Ecocert) et nature.
Nature avant, nature toujours
Avant l’achat de son domaine de sept hectares des mains d’un vieux vigneron, les vignes n’avaient pas encore vu de pesticides ni d’additifs chimiques. Beaucoup, en Beaujolais, travaillaient ainsi. Il réalise sa première cuvée en 2006, « nature sans le savoir », dit-il. Une brève tentative de pulvérisation chimique pour traiter le ver de la grappe le dissuade définitivement d’ajouter quoi que ce soit à la vigne ou au chai. Il acquiert la certification biologique Ecocert et continue à faire du nature.
Le terroir des Pierre dorées
Le sud du Beaujolais, argilo-calcaire, produit des vins plus structurés et plus puissants que ceux des terrains granitiques du Nord. C’est le profil que présentent les rouges de Benoît Camus, des vins naturels droits, denses et de longue garde, avec une belle acidité et des tannins bien fondus, sans oublier un fruité abondant, riche et séduisant.
Beaujolais Lancié Rouge 2019,
Domaine Bélicard
Au cœur des Beaujolais Villages AOP, le Domaine Bélicard signe une cuvée authentique et pleine de gourmandise avec son Beaujolais Lancié 2019. Issu d’un vignoble ancré sur des sols granitiques, ce vin est une véritable ode au cépage Gamay Noir, sublimé par une vinification traditionnelle en macération carbonique. Avec ses vignes de 53 ans, cette cuvée illustre à merveille la finesse et la fraîcheur caractéristiques des meilleurs Beaujolais Villages.
Un Gamay à goûter !
Vinifié en macération carbonique, un procédé typique du Beaujolais qui exalte le fruit et la souplesse des tanins, ce vin est ensuite élevé 9 mois en cuve bois, lui conférant à la fois rondeur et vivacité. Son élevage maîtrisé met en lumière toute la fraîcheur et la délicatesse du terroir, sans masquer la pureté aromatique du Gamay.
Un nez floral et une bouche gourmande
Dès l’ouverture, le Beaujolais Lancié 2019 dévoile un nez expressif, dominé par des notes florales et de fruits rouges croquants (cerise, groseille). En bouche, l’équilibre est parfait entre fraîcheur et gourmandise, avec des tanins fins qui apportent une texture soyeuse et une finale juteuse et désaltérante.
Comment déguster cette bouteille?
Servi légèrement rafraîchi à 14-16°C, ce vin de partage est parfait à l’apéritif, mais aussi avec des grillades estivales, une planche de charcuterie ou des plats simples et conviviaux. Avec un potentiel de garde de 5 ans, il pourra évoluer vers des arômes encore plus complexes.
Je t'ai dans la peau Blanc 2017,
Nicolas Chemarin
Nicolas Chemarin, surnommé P’tit Grobis en qualité d’habitant de Marchampt (Beaujolais), est la quatrième génération de vigneron sur son domaine viticole familial en appellation Beaujolais-Villages, sur une terre tout en cailloux où il cisèle des vins surprenants de profondeur et de sincérité. C’est en 2005 qu’il reprend deux hectares de vignes de son père et en 2006 qu’il signe ses premières cuvées. En 2008, il acquiert d’autres vignes et décide de se consacrer uniquement à son domaine dont le terroir, très escarpé, consiste en sols rocailleux et pauvres sur une roche granitique grise. Les vignes reposent sur le substrat rocheux à travers un sol très mince, et leurs racines plongent profondément dans la roche. Selon la configuration du sol, les vignes sont taillées en gobelet ou relevées sur échalas. Leur âge moyen est de quatre-vingts ans. L’encépagement, gamay et chardonnay, est classiquement beaujolais. Nicolas exploite aussi deux autres terroirs sur l’appellation Régnié : Les Bullats, aux sols sableux légers et filtrants, et La Haute Ronze, très proche de Morgon, dont les sols, plus profonds et argileux, donnent des vins charpentés. Les crus subissent de longues macérations (de 18 à 30 jours) avec pigeage et contrôle des températures (Nicolas travaille à froid, autour de 20 °C). L’élevage se fait partiellement en cuves de béton thermorégulées pour un tiers, les deux tiers restants passant en fûts de quatre à dix vins afin d’apporter une oxygénation mais peu ou pas de sensation boisée. Nicolas Chemarin est déjà très connu dans le milieu du nature pour ses cuvées friandes et fruitées, des vins de plaisir, et pour des crus issus de terroirs ardus et magnifiques, pourvus d’admirables et complexes notes minérales, aromatiques et épicées.
Comme son nom l’indique, Je t’ai dans la peau est une affaire d’épiderme. De peau de raisin, bien sûr, puisqu’il s’agit d’un blanc de macération, expérience réalisée par Nicolas avec diverses nuances depuis 2009 pour obtenir des vins à la personnalité marquée. L’objectif n’est pas d’obtenir des vins orange exubérants à l’italienne ou à la méridionale, mais des macérations maîtrisées avec du fruit et de la profondeur. La vendange provient de la même parcelle que celle de P’tit Grobis blanc : tout chardonnay bien entendu, sols granitiques caillouteux. Le millésime 2017 est réalisé en macération pure. Celle-ci est courte : de cinq à sept jours. L’élevage est de trois ans en fûts. Cet orange-ci offre une belle couleur vieil or et des notes finement oxydatives, noix et noisette, débouchant sur une palette fruitée exotique. Superbe équilibre à savourer.
Les Vignes de Jeannot Rouge 2017
Nicolas Chemarin
Ce cru rouge en appellation Beaujolais-Villages (bien entendu cent pour cent gamay), au rapport qualité-prix plus que raisonnable, est issu de vieilles vignes ayant appartenu à Jean Chemarin, ancêtre de notre vigneron actuel : de là le nom sur l’étiquette. Une fraîcheur qu’explique l’altitude de la parcelle (450 mètres). Ce vin a subi deux ans d’élevage pour moitié en cuves et pour l’autre moitié en barriques bourguignonnes. Il est charmeur, enjôleur, fruité, avec de belles notes de fraise.
Pour en savoir plus
Nicolas Chemarin, surnommé « P’tit Grobis » en sa qualité d’habitant de Marchampt (Beaujolais), est la quatrième génération de vigneron sur son domaine viticole familial en appellation Beaujolais-Villages, sur une terre tout en cailloux où il cisèle des vins surprenants de profondeur et de sincérité. C’est en 2005 qu’il reprend deux hectares de vignes de son père et en 2006 qu’il signe ses premières cuvées. En 2008, il acquiert d’autres vignes et décide de se consacrer uniquement à son domaine dont le terroir, très escarpé, consiste en sols rocailleux et pauvres sur une roche granitique grise. Les vignes reposent sur le substrat rocheux à travers un sol très mince, et leurs racines plongent profondément dans la roche. Selon la configuration du sol, les vignes sont taillées en gobelet ou relevées sur échalas. Leur âge moyen est de quatre-vingts ans. L’encépagement, gamay et chardonnay, est classiquement beaujolais. Nicolas exploite aussi deux autres terroirs sur l’appellation Régnié : Les Bullats, aux sols sableux légers et filtrants, et La Haute Ronze, très proche de Morgon, dont les sols, plus profonds et argileux, donnent des vins charpentés. Les crus subissent de longues macérations (de 18 à 30 jours) avec pigeage et contrôle des températures (Nicolas travaille à froid, autour de 20 °C). L’élevage se fait partiellement en cuves de béton thermorégulées pour un tiers, les deux tiers restants passant en fûts de quatre à dix vins afin d’apporter une oxygénation mais peu ou pas de sensation boisée. Nicolas Chemarin est déjà très connu dans le milieu du nature pour ses cuvées friandes et fruitées, des vins de plaisir, et pour des crus issus de terroirs ardus et magnifiques, pourvus d’admirables et complexes notes minérales, aromatiques et épicées
We are Young Rouge Beaujolais Nouveau 2025,
Domaine de la Sorbiere
We Are Young 2025 est une déclaration d’intention. Plus qu’un simple Beaujolais Nouveau, c’est une vision du vin jeune, libre, sans maquillage ni artifice. Cette cuvée du Domaine de la Sorbière, dans le Beaujolais granitique, rend hommage à la vitalité du Gamay, cépage emblématique de la région, travaillé ici dans un esprit pleinement naturel.
Le raisin provient de sols granitiques qui donnent au vin une fraîcheur minérale très nette. La vinification est aussi simple que sincère : macération semi-carbonique de 5 jours, fermentations spontanées avec levures indigènes, et un élevage ultra-court de 4 jours en cuve inox pour capturer l’instantané du fruit. Aucune intervention œnologique superflue, pas de levures exogènes ni intrants chimiques : ici, tout est naturel, vivant, et respectueux du raisin comme de son terroir.
La robe est d’un rouge très clair, couleur grenadine, presque translucide, évoquant un jus de fruit fermenté. Le nez charme immédiatement avec ses notes d’agrumes, de cerise fraîche et de fleurs blanches, une palette aromatique fine et printanière. En bouche, c’est le croquant du fruit qui domine, avec une trame fluide, fraîche, presque désaltérante, sans manquer de structure. L’alcool modéré (12 %) participe à cette impression de légèreté gourmande.
Parfait dès l’apéritif, We Are Young 2025 s’accorde à merveille avec une planche de charcuteries fines, des fromages à pâte molle ou une cuisine simple et généreuse. À servir légèrement frais (16-18°C) et à boire sans attendre, même si son potentiel de garde de 2 à 5 ans surprendra les curieux.
Une cuvée numérotée, pleine de sincérité et de peps, pour réconcilier tous les amateurs avec l’esprit originel du Beaujolais Nouveau : celui de la fête, du partage, et du vin qui fait du bien.
Orange, Rosé 2020
Domaine Bélicard
Un nom intrigant, une robe rosée, une structure inattendue : « Orange » du Domaine Bélicard est un vin qui brouille les pistes et élargit les horizons du rosé. Vin nature issu à 100 % de Gamay cultivé en bio dans le Beaujolais, ce millésime 2020 est une proposition audacieuse, presque méditative, loin des clichés fruités et acidulés.
Un rosé libre à l’esprit oxydatif
La macération courte de quelques heures révèle une robe soutenue, aux reflets légèrement orangés, tandis que l’élevage de trois mois en cuve béton et une approche volontairement peu interventionniste laissent place à une micro-oxydation maîtrisée. Aucun intrant œnologique, levures indigènes, et un jus qui s’exprime sans retenue. Le résultat : un rosé atypique, complexe, avec du fond et une belle capacité à évoluer.
Un profil aromatique à part
Au nez, ce sont les fleurs séchées qui dominent, suivies de notes de fruits noirs, de fruits jaunes très mûrs, et une touche zestée rappelant l’écorce d’agrumes. En bouche, la matière est ample, presque tannique, avec une sensation saline en finale. La légère oxydation apporte du relief et une personnalité marquée, sans déséquilibre.
À déguster autrement
Orange 2020 est un rosé d’auteur, à servir entre 10 et 12 °C, sans carafage, sur des moments d’apéritif contemplatifs ou des plats simples mais savoureux. Il peut aussi vieillir quelques années en cave (jusqu’à 10 ans), pour explorer ses nuances plus profondes. Un vin pour curieux éclairés et palais aventureux.
Les Larmes du Soleil Rouge 2023
Les Larmes du Soleil est un vin rouge biologique et nature 100 % pinot (plusieurs variétés), sans ajout de sulfites, réalisé par Cyril Alonso à Marchampt, sur les terroirs du Beaujolais vert. Classé en Vin de France, il s’appelait précédemment « Les Larmes des damas » en hommage à Henry Frédéric Roch, du domaine Prieuré-Roch, en Côte-d’Or, qui vinifiait la variété ancienne pinot de Damas. De Damas aux roses, il n’y a qu’un pas.
Vinification
Les vignes croissent sur une parcelle de 2 ares, sur sols de granits gris avec enherbement sauvage. Il s’agit de pinots de diverses variétés (pinot noir, pinot gris, plant fin ou pinot fin, pinot modri de Slovénie) taillés en gobelet, âgés de quatre à trente ans et cultivés sans labour, en agriculture biologique et en agroforesterie. La fermentation se fait par levures indigènes sans pied de cuve. La fermentation alcoolique et malolactique se déroule en barriques de plusieurs vins (sept pour ce millésime) pendant 36 mois. Deux barriques (600 bouteilles) ont été réalisées. Aucun intrant chimique n’a été ajouté à la vigne ou au chai.
Dégustation
Ce vin, qui inaugure son premier millésime, est plus corsé, moins clair que Le Retour des hirondelles, du même domaine. Belle robe rubis, rose rouge. Ayant longtemps attendu en barrique, il est complexe, patiné, poli. Notes de cuir, d’ambre, d’orchidée vanillée. À ce vin de haute couture, on accordera des nourritures choisies : grillades ou rôtis de bœuf haut de gamme, charcuteries et salaisons, jambon ibérique de bellota, Plats Mijotés qui réconfortent, par exemple un bon cassoulet.
En savoir plus sur la Tribu Alonso
Ce nom tribal désigne Cyril Alonso, vigneron, son épouse, naturopathe, et leur famille. Ils prennent soin, en agriculture biologique, d’un conservatoire de cépages traditionnels de la région Rhône-Alpes situé à Marchampt (Rhône), en plein Beaujolais vert. Cette ampélothèque de deux hectares et demi, qui existe depuis 1952, comptait alors quarante cépages. Elle en contient actuellement cent quarante. Cette situation originale donne leur style particulier aux vins de la Tribu Alonso. Au lieu d’être des microcuvées monocépages, elles sont tout le contraire : des vins par famille de cépages, soit un chardonnay contenant tous les chardonnays de la maison ou un gamay multigamay.
Un biotope classé en 2008
Le domaine jouit d’une situation écologique unique : la maison et le vignoble sont entourés de forêts intactes, sur les terrains escarpés du nord du Beaujolais. Trois rivières le traversent, et les vignes, proches de la roche mère, captent toute la minéralité du sol. L’agriculture biologique est pratiquée et le travail, à la vigne comme au chai, est entièrement manuel, sans recours à aucun additif chimique ou sulfite en vinication.
Les vins
Cuvées de complantation (et pour cause), les vins de la Tribu Alonso embrassent toute la complexité de leurs cépages et de l’histoire viticole du Beaujolais. Ce sont des vins travaillés, réalisés avec une grande attention, fermentés et élevés au son des bols tibétains, dont les ondes alpha sont bénéfiques aux liquides. Les cuvaisons sont courtes, pour préserver la fraîcheur et le fruit, ainsi que la signature du sol et des cépages.
Le Rocher rouge 2018,
Nicolas Chemarin
Ce rouge infiniment soyeux et gourmand, minéral et très droit, est un Beaujolais-Villages qui sera idéalement dégusté entre 14 et 16 °C. Il est issu de gamay du Beaujolais cultivé au lieu-dit Combe Fleurette, à 550 mètres d’altitude et sur une pente de 40 % en moyenne, exposé au sud, sur une parcelle de granite bleu au sol très peu profond. Les vignes, âgées de vingt-cinq ans, reposent sur une tête de roche. La vendange cuve quarante jours en grappes entières avec retournements réguliers. Après pressurage, le jeune vin est élevé sur lies fines dans des fûts de chêne bourguignon. La mise en bouteille est faite en lune descendante, sans collage ni filtration.
Pour en savoir plus
Nicolas Chemarin, surnommé « P’tit Grobis » en sa qualité d’habitant de Marchampt (Beaujolais), est la quatrième génération de vigneron sur son domaine viticole familial en appellation Beaujolais-Villages, sur une terre tout en cailloux où il cisèle des vins surprenants de profondeur et de sincérité. C’est en 2005 qu’il reprend deux hectares de vignes de son père et en 2006 qu’il signe ses premières cuvées. En 2008, il acquiert d’autres vignes et décide de se consacrer uniquement à son domaine dont le terroir, très escarpé, consiste en sols rocailleux et pauvres sur une roche granitique grise. Les vignes reposent sur le substrat rocheux à travers un sol très mince, et leurs racines plongent profondément dans la roche. Selon la configuration du sol, les vignes sont taillées en gobelet ou relevées sur échalas. Leur âge moyen est de quatre-vingts ans. L’encépagement, gamay et chardonnay, est classiquement beaujolais. Nicolas exploite aussi deux autres terroirs sur l’appellation Régnié : Les Bullats, aux sols sableux légers et filtrants, et La Haute Ronze, très proche de Morgon, dont les sols, plus profonds et argileux, donnent des vins charpentés. Les crus subissent de longues macérations (de 18 à 30 jours) avec pigeage et contrôle des températures (Nicolas travaille à froid, autour de 20 °C). L’élevage se fait partiellement en cuves de béton thermorégulées pour un tiers, les deux tiers restants passant en fûts de quatre à dix vins afin d’apporter une oxygénation mais peu ou pas de sensation boisée. Nicolas Chemarin est déjà très connu dans le milieu du nature pour ses cuvées friandes et fruitées, des vins de plaisir, et pour des crus issus de terroirs ardus et magnifiques, pourvus d’admirables et complexes notes minérales, aromatiques et épicées.
Beaujolais Lancié Rouge 2018,
Domaine Bélicard
Au sein de l’appellation Beaujolais Villages AOP, le Domaine Bélicard signe un vin authentique et généreux, reflet du terroir granitique de la région. Issu du cépage Gamay Noir, ce vin allie gourmandise et complexité avec un beau potentiel de garde.
Un Beaujolais Villages à la fois rond et épicé
Vinifié en macération carbonique, technique emblématique du Beaujolais, il révèle une superbe intensité aromatique. Son élevage de 9 mois en cuve béton lui confère une texture soyeuse et une belle expression du fruit.
Un bouquet complexe et une bouche équilibrée
Ce Beaujolais bio séduit par ses arômes de fruits rouges et noirs confits, accompagnés de notes épicées et de sous-bois. La bouche est ronde et ample, avec une belle structure et une finale persistante.
Avec quoi déguster ce vin?
Servi à 14-16°C, il s’apprécie aussi bien à l’apéritif qu’avec des crustacés, fromages crémeux ou poissons cuisinés.
Je t'aime moi non plus Rosé Pétillant 2024,
La Tribu Alonso
Un pétillant naturel qui joue avec les émotions, "Je t’aime moi non plus" est un rosé effervescent signé La Tribu Alonso, pensé comme un hommage à la sensualité et à la spontanéité du Gamay. Issu d’un terroir granitique ensoleillé du Beaujolais, ce vin festif et délicatement fruité est élaboré selon la méthode ancestrale, offrant une bulle fine et gourmande, à la fois fraîche et veloutée.
Un Pet' Nat’ séduisant et aérien
Composé de trois variétés de Gamay (Vialla, Troye et Gascon), ce vin séduit par sa finesse et sa faible titration en alcool (8,5%), en faisant un allié parfait pour des moments de partage sans lourdeur. La méthode ancestrale, qui consiste à embouteiller le jus en cours de fermentation, lui confère une effervescence naturelle et une belle vivacité en bouche.
Un bouquet délicat et envoûtant
Dès l’ouverture, le nez dévoile un mélange gourmand de framboise fraîche, d’agrumes éclatants et de poire juteuse, avec une touche légèrement florale. En bouche, la texture veloutée enveloppe le palais tout en conservant une acidité rafraîchissante qui équilibre parfaitement sa générosité fruitée.
Un compagnon idéal pour l’apéritif
Avec sa bulle fine et sa fraîcheur éclatante, "Je t’aime moi non plus" est le complice parfait des moments conviviaux. À servir entre 10 et 12°C, il s’apprécie dès l’apéritif, mais accompagne aussi à merveille des plats légers comme des tapas, des fruits de mer ou encore une salade de fraises et basilic. À déguster dès maintenant ou à conserver jusqu’à 5 ans pour en explorer l’évolution.
Je t'ai dans la peau Blanc, 2018
Nicolas Chemarin
Profond, terrien et extrêmement complexe, ce vin orange présente une belle couleur vieil or et des notes finement oxydatives, noix et noisette, débouchant sur une palette fruitée exotique. Beaucoup de caractère et des promesses d’évolution considérables. Comme son nom l’indique, Je t’ai dans la peau est une affaire d’épiderme. De peau de raisin, bien sûr, puisqu’il s’agit d’un blanc de macération, expérience réalisée par Nicolas avec diverses nuances depuis 2009 pour obtenir des vins à la personnalité marquée. L’objectif n’est pas d’obtenir des vins orange exubérants à l’italienne ou à la méridionale, mais des macérations maîtrisées avec du fruit et de la profondeur. La vendange provient de la même parcelle que celle de P’tit Grobis blanc : tout chardonnay bien entendu, sols granitiques caillouteux. Le millésime 2017 est réalisé en macération pure. Celle-ci est courte : de cinq à sept jours. L’élevage est de trois ans en fûts. Superbe équilibre à savourer, à classer sans hésiter dans la catégorie des beaujolais fous.
Pour en savoir plus
Nicolas Chemarin, surnommé P’tit Grobis en qualité d’habitant de Marchampt (Beaujolais), est la quatrième génération de vigneron sur son domaine viticole familial en appellation Beaujolais-Villages, sur une terre tout en cailloux où il cisèle des vins surprenants de profondeur et de sincérité. C’est en 2005 qu’il reprend deux hectares de vignes de son père et en 2006 qu’il signe ses premières cuvées. En 2008, il acquiert d’autres vignes et décide de se consacrer uniquement à son domaine dont le terroir, très escarpé, consiste en sols rocailleux et pauvres sur une roche granitique grise. Les vignes reposent sur le substrat rocheux à travers un sol très mince, et leurs racines plongent profondément dans la roche. Selon la configuration du sol, les vignes sont taillées en gobelet ou relevées sur échalas. Leur âge moyen est de quatre-vingts ans. L’encépagement, gamay et chardonnay, est classiquement beaujolais. Nicolas exploite aussi deux autres terroirs sur l’appellation Régnié : Les Bullats, aux sols sableux légers et filtrants, et La Haute Ronze, très proche de Morgon, dont les sols, plus profonds et argileux, donnent des vins charpentés. Les crus subissent de longues macérations (de 18 à 30 jours) avec pigeage et contrôle des températures (Nicolas travaille à froid, autour de 20 °C). L’élevage se fait partiellement en cuves de béton thermorégulées pour un tiers, les deux tiers restants passant en fûts de quatre à dix vins afin d’apporter une oxygénation mais peu ou pas de sensation boisée. Nicolas Chemarin est déjà très connu dans le milieu du nature pour ses cuvées friandes et fruitées, des vins de plaisir, et pour des crus issus de terroirs ardus et magnifiques, pourvus d’admirables et complexes notes minérales, aromatiques et épicées.
Le Rocher rouge 2017
Nicolas Chemarin
Le Rocher est issu de gamay du Beaujolais cultivé au lieu-dit Combe Fleurette, à 550 mètres d’altitude et sur une pente de 40 % en moyenne, exposé au sud, sur une parcelle de granite bleu au sol très peu profond. Les vignes, âgées de vingt-cinq ans, reposent sur une tête de roche. La vendange cuve pendant quarante jours en grappes entières avec retournements réguliers. Après pressurage, le jeune vin est élevé sur lies fines dans des fûts de chêne bourguignon. La mise en bouteille est faite en lune descendante, sans collage ni filtration. Ce rouge infiniment soyeux et gourmand, très minéral et très droit, accompagnera viandes en sauce, poissons nobles et même desserts chocolatés.
Température de dégustation : entre 14 et 16 °C.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Art Brut Rouge 2023,
La Tribu Alonso
Un rouge vibrant, hybride et audacieux, né du terroir granitique du Beaujolais
L’Art Brut 2023, élaboré par La Tribu Alonso, est une cuvée atypique et captivante. Ce vin rouge se distingue par sa diversité ampélographique exceptionnelle, réunissant une mosaïque de cépages, dont le Cabernet Sauvignon, la Garnacha et la Syrah, enrichie d’une touche de raisins blancs. Produit sur des sols granitiques, il reflète une philosophie artisanale et innovante qui célèbre la biodiversité et le terroir.
Vinifié avec une macération courte pour extraire finesse et fraîcheur, puis élevé un an en cuve, ce vin révèle une approche naturelle et sincère, sans artifice.
Une dégustation intense et originale
Au nez, l’Art Brut 2023 charme par ses arômes de cerise noire, de kirsch et de cuir, avec des nuances subtiles de poivre et d’épices. En bouche, il offre une attaque franche et vivifiante, portée par une texture souple et une belle fraîcheur. Les tanins, délicats et fondus, mettent en valeur des saveurs de fruits rouges mûrs et de notes épicées qui persistent dans une finale longue et harmonieuse.
Des accords riches et variés
Ce vin polyvalent est idéal pour accompagner des moments conviviaux comme des repas gastronomiques. Il se marie parfaitement avec des Viandes Blanches grillées, un civet de volaille ou des Viandes Rouges rôties. Sa fraîcheur et son caractère épicé en font également un choix parfait pour des Plats Mijotés ou légèrement relevés.
À servir entre 14 et 16°C, sans carafage nécessaire, l’Art Brut 2023 peut être dégusté dès aujourd’hui pour sa fraîcheur ou conservé jusqu’à 5 ans, où il gagnera en complexité.
Vin d’Montbled Blanc 2015,
Ce chardonnay élevé en barrique et provient de vignes de quatre-vingt-dix ans plantées sur sols argilo-calcaires. Fruit, fraîcheur et caractère : un régal.
Vin naturel sans sulfites ajoutés
Fleurie Rouge 2023
Frédéric Cossard
Un Fleurie naturel, signé d’une main libre
Dans cette cuvée Fleurie 2023, Frédéric Cossard applique son approche minimaliste et instinctive à l’un des plus grands crus du Beaujolais. Ici, pas de maquillage œnologique, pas d’intrants, seulement du raisin de gamay, récolté sur des sols argilo-calcaires typiques de l’appellation, et vinifié naturellement en semi-carbonique. Un Fleurie à la fois fidèle à son terroir et animé d’une liberté de ton toute bourguignonne.
La justesse d’un vin vivant
La fermentation semi-carbonique, emblématique du Beaujolais, permet au gamay de s’exprimer avec intensité et souplesse. L’élevage en cuve inox pendant un an conserve toute la fraîcheur et le croquant du fruit, sans l’alourdir d’un élevage boisé. Le vin n’est ni collé ni filtré, et les levures utilisées sont uniquement indigènes. Résultat : une matière juteuse, des tanins soyeux, un jus vibrant et parfaitement équilibré.
Un nez charmeur, une bouche qui appelle le partage
Au nez, Fleurie 2023 séduit immédiatement par ses arômes francs de fruits rouges bien mûrs, de mûre sauvage, de cerise juteuse et une touche florale subtile. En bouche, la texture est souple, presque satinée, avec une belle acidité qui soutient l’ensemble sans jamais dominer. Gourmand, léger mais structuré, c’est un rouge joyeux, solaire et élégant.
À table ou à l’apéro, il met tout le monde d’accord
Parfait pour l’apéritif, une planche de charcuterie fine, un poulet rôti, des légumes grillés ou une cuisine bistronomique. À servir légèrement rafraîchi, entre 14 et 16°C. Pas besoin de carafage. Potentiel de garde : 5 ans.
Pet Nat, Rosé Pétillant 2022
Domaine Bélicard
Voici une bulle qui pétille d’authenticité et de plaisir immédiat. Avec ce Rosé Pet Nat 2022, le Domaine Bélicard, vigneron engagé en agriculture biologique dans le Beaujolais, capture l’esprit estival dans une bouteille. Ce pétillant naturel 100 % Gamay réunit fraîcheur, fruit et légèreté, dans un style joyeux, sans artifice ni ajout.
Un rosé pétillant naturel, franc et libre
Le Gamay est ici récolté en grappes entières, puis mis en macération courte afin d’extraire juste ce qu’il faut de couleur et de matière. La fermentation démarre naturellement grâce aux levures indigènes, puis se poursuit en bouteille, selon le principe de la méthode ancestrale. Aucun ajout de sulfite, pas de dosage ni de levures sélectionnées : c’est un vin vivant, brut, tout en spontanéité. Son élevage s’étale sur environ deux ans avant la sortie, lui apportant équilibre et stabilité.
Un profil tonique et fruité
Robe rosée pâle légèrement trouble, mousse fine et naturelle, et au nez, des notes de petits fruits rouges, de grenade et une touche florale délicate. En bouche, la bulle est souple, la matière légère, avec une finale acidulée et rafraîchissante qui donne envie d'y revenir. L’ensemble est digeste, désaltérant, et incroyablement gourmand.
À boire sans cérémonie
Servez-le frais (10–12 °C), sans carafage, à l’apéritif ou pour accompagner une cuisine estivale simple : salades, fromages frais, grillades légères… Ce vin se boit jeune, mais sa vivacité lui permet aussi de vieillir avec grâce pendant 5 à 10 ans. Un pet’ nat’ qui fait pétiller vos soirées.
Dolce et Cabanon Rouge 2024
Terroir, parcellaire et encépagement
C’est au cœur du Beaujolais, dans un coin de campagne où la vigne pousse avec insouciance, que naît Dolce et Cabanon 2024, un rouge atypique, vibrant et plein de charme. Cette cuvée, signée par La Tribu Alonso, défie les conventions avec panache : elle assemble pas moins de 52 cépages hybrides, dont 30 % de Seibel 54/55, portés par la fraîcheur aromatique du Muscat Petit Grain — une rareté en version rouge, ici sublimée. Ce kaléidoscope végétal donne naissance à un vin libre et indiscipliné, à l’image d’un jardin sauvage où chaque plante trouve sa place.
Méthodes culturales
La vigne est cultivée avec soin, à l’écoute du vivant et des saisons, sans précipitation ni dogme. Chaque pied est accompagné à la main, chaque grappe récoltée avec respect, dans une approche profondément artisanale. Ce travail du sol attentif, ce compagnonnage avec la nature, permettent aux cépages, classiques ou oubliés, de s’exprimer avec justesse et spontanéité. En cave, même philosophie : des gestes simples, une vinification intuitive, pour laisser le vin parler sans filtre.
Dégustation & accords
Dolce et Cabanon 2024 est un rouge juteux, souple et gouleyant, à la fois généreux et léger. Dès le premier nez, il séduit par ses notes de fruits rouges bien mûrs, relevées d’une pointe herbacée et épicée. Puis viennent des touches d’agrumes, presque inattendues, qui rafraîchissent l’ensemble et donnent à ce vin un rythme enjoué, un brin espiègle. En bouche, les tanins s’expriment avec douceur, dessinant une trame élégante, toujours portée par la fraîcheur.
Compagnon parfait des barbecues d’été, des viandes grillées à la flamme ou des soirées au jardin entre amis, c’est un vin qui appelle le partage et les moments simples. Mais derrière cette convivialité assumée se cache un véritable travail d’orfèvre, une recherche d’équilibre entre rusticité et finesse, entre nature et culture.