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i Vicini Barbera Rouge 2019,
Jean-Yves Peron
Il avait commencé par faire des études de biochimie, mais Jean-Yves s’est vite laissé entraîner par la vigne et a suivi une formation d’œnologue à Bordeaux. Il a fait ses gammes de vigneron chez Thierry Allemand à Cornas, puis chez Bruno Schueller en Alsace, avant de séjourner quelque temps en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis. Son activité de négoce, débutée en 2011, lui permet d’acheter la vendange de vignerons bio proches de chez lui, mais aussi en Italie du Nord : pour lui, c’est une nouvelle dimension donnée à son travail de vigneron, lui permettant de multiplier les terroirs et d’approfondir ses expériences de vinification et d’élevage.
Près du lac d’Annecy, Jean-Yves Péron associe avec talent une viticulture engagée et une vinification de négoce toutes deux sous le signe du nature. Ses rouges de mondeuse sont magnifiques, ses blancs de cépages locaux anciens – jacquère, altesse, bergeron, persan – ne le sont pas moins. Il réside à Chevaline, mais son vignoble actuel, trois hectares en biodynamie depuis l’origine, se divise entre Conflans, près d’Albertville, et Fréterive, un peu en aval dans la vallée de l’Isère.
Le travail vinicole de Jean-Yves Péron répond aux principes de l’intervention minimale. Sur des surfaces étroites et abruptes, ses vignes de montagne ne reçoivent aucun produit de synthèse, Jean-Yves leur préférant les purins de prêle et d’ortie. La végétation environnante est d’une grande richesse : elle protège les vignes et contribue à les fortifier. Les sols sont enherbés, fauchés et retravaillés à la pioche et au treuil. Les vendanges sont entièrement manuelles. Une fois encuvés en grappes entières, les raisins, en rouge comme en blanc, subissent une macération semi-carbonique qui permet d’extraire des arômes de fruits frais. Ce temps de macération varie entre cinq jours et neuf semaines en fonction des cuvées. La veille ou l’avant-veille du pressurage, Jean-Yves pratique un foulage aux pieds directement dans la cuve. Après cette fermentation, les moûts partent en fûts pour un élevage sur lies de douze mois en fûts de cinq cents litres de deux ou trois vins (pour limiter la sensation boisée), suivi d’un assemblage et d’un repos en cuve. Aucun sulfite n’est ajouté, ou le moins possible, et les vins ne subissent ni collage ni filtration.
Le vin savoyard a longtemps pâti d’une image un peu fluette, insuffisamment prise au sérieux. Pourtant, quels trésors produisent ses sols à la pédologie variée et ses nombreux cépages anciens ! Jean-Yves Péron incarne la renaissance de ce très beau vignoble.
En 2017, Jean-Yves Péron a décidé d’élargir sa gamme en allant récupérer des raisins bio au cœur du Piémont italien. Il en est résulté plusieurs cuvées, dont ce rouge 100 % barbera. Deuxième cépage rouge le plus utilisé en Italie après le sangiovese, la barbera donne des vins corsés, colorés, sur les fruits rouges. C’est le cas de celui-ci, frais et fruité, un peu plus léger que la moyenne des barberas avec une délicieuse acidité carbonique. Son style se rapproche plutôt de celui de Champ Levat. Long, généreux, un grand vin à savourer.
Saint-Joseph Amphore Rouge 2018,
Domaine des Miquettes
Avec passion et talent, le domaine des Miquettes associe le terroir et les traditions viticoles du Rhône et celles de la Géorgie, dont la viticulture est un modèle pour Paul Estève et Chrystelle Vareille, créateurs du domaine. Celui-ci, situé en Ardèche, se trouve au sud de l’appellation Saint-Joseph. Paul a fait ses classes auprès de René-Jean Dard et François Ribo, deux grandes figures du vin naturel en vallée du Rhône. Avec Chrystelle, il commence par récupérer la ferme de la famille de Paul avec deux ares de vigne, puis en 2004 la totalité du domaine, lequel compte à présent 4,3 hectares. Les cépages blancs sont situés autour de la maison, les cépages rouges sont plantés sur coteaux escarpés, entre 300 et 450 mètres d’altitude. Les parcelles reposent sur un socle de granit avec des sols légers : granits à micas noirs, schistes et gneiss. Tout est cultivé en bio (Écocert) avec pratiques biodynamiques. Les vignes sont soignées et fortifiées à l’aide de décoctions de plantes et d’argile. Les sols sont travaillés au cheval ou au treuil et à la pioche. Aucun intrant chimique n’est ajouté au travail viticole. Les vendanges sont entièrement manuelles.
La grande spécificité du domaine des Miquettes reste l’emploi des techniques géorgiennes, inspiré par leur passion pour ce pays du Caucase, berceau du vin, où des techniques de vinification vieilles de huit mille ans sont encore en vigueur. Au cœur de cette viticulture est le qvevri, la jarre enterrée où se déroule toute la vinification : fermentation avec macération pelliculaire et élevage. Ils partent à la découverte de ce pays et en reviennent avec la décision d’élever tous leurs vins en jarres enterrées. Ils en ont vingt-six, mais distinguent les tinajas (jarres espagnoles) pour les fermentations-macérations et les « amphores » enterrées pour l’élevage. Aucun soufre n’est ajouté. Pour les rouges comme pour les blancs, la terre cuite gomme l’astringence et la transmute en une texture veloutée, une matière fruitée et souple.
Voici une superbe syrah de vieilles vignes en AOP Saint-Joseph, élevée en amphores de terre cuite. Profond, équilibré, structuré mais montrant une belle fusion des tannins et une palette aromatique opulente, ce saint-joseph fruité et épicé est à boire maintenant ou à garder encore quelques années. Belle signature du terroir de Saint-Joseph.
Saint Joseph Rouge 2019,
Domaine des Miquettes
Avec créativité et passion, le domaine des Miquettes associe le terroir et les traditions viticoles du Rhône et celles de la Géorgie, dont la viticulture est un modèle pour Paul Estève et Chrystelle Vareille, créateurs du domaine. Celui-ci, situé en Ardèche, se trouve au sud de l’appellation Saint-Joseph. Paul a fait ses classes auprès de René-Jean Dard et François Ribo, deux grandes figures du vin naturel en vallée du Rhône. Avec Chrystelle, il commence par récupérer la ferme de la famille de Paul avec deux ares de vigne, puis en 2004 la totalité du domaine, lequel compte à présent 4,3 hectares. Les cépages blancs sont situés autour de la maison, les cépages rouges sont plantés sur coteaux escarpés, entre 300 et 450 mètres d’altitude. Les parcelles reposent sur un socle de granit avec des sols légers : granits à micas noirs, schistes et gneiss. Tout est cultivé en bio (Écocert) avec pratiques biodynamiques. Les vignes sont soignées et fortifiées à l’aide de décoctions de plantes et d’argile. Les sols sont travaillés au cheval ou au treuil et à la pioche. Aucun intrant chimique n’est ajouté au travail viticole. Les vendanges sont entièrement manuelles.
La grande spécificité du domaine des Miquettes reste l’emploi des techniques géorgiennes, inspiré par leur passion pour ce pays du Caucase, berceau du vin, où des techniques de vinification vieilles de huit mille ans sont encore en vigueur. Au cœur de cette viticulture est le qvevri, la jarre enterrée où se déroule toute la vinification : fermentation avec macération pelliculaire et élevage. Ils partent à la découverte de ce pays et en reviennent avec la décision d’élever tous leurs vins en jarres enterrées. Ils en ont vingt-six, mais distinguent les tinajas (jarres espagnoles) pour les fermentations-macérations et les « amphores » enterrées pour l’élevage. Aucun soufre n’est ajouté. Pour les rouges comme pour les blancs, la terre cuite gomme l’astringence et la transmute en une texture veloutée, une matière souple et fruitée.
Cette belle syrah de vieilles vignes en AOP Saint-Joseph est élevée en amphores de terre cuite. Frais, équilibré, structuré mais montrant une belle fusion des tannins et une palette aromatique opulente, ce saint-joseph fruité et épicé est à boire maintenant ou à garder encore quelques années. Belle signature du terroir de Saint-Joseph.
€54,00
Prix unitaire par€54,00
Prix unitaire parAuxey Duresses Les Crais Rouge 2019,
Domaine de Chassorney
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne-Hautes-Côtes-de-Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
Frédéric Cossard offre ici une belle expression du pinot noir, typiquement bourguignonne, obtenue à partir de vignes de plus de quarante ans : du frais, du croquant et de puissants arômes de fruits rouges. Peut vieillir quelques années.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
€249,00
Prix unitaire par€249,00
Prix unitaire parSaint Romain sous le Chateau Clos du Cerisier Blanc 2019,
Domaine de Chassorney
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne-Hautes-Côtes-de-Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
Ce chardonnay provient d’une parcelle escarpée située entre 280 et 400 mètres d’altitude. Les sols y sont essentiellement marneux, calcaires et argileux. Après un pressurage direct, l’élevage est d’environ un an en barriques. Ce vin n’est conditionné qu’en format magnum ; il est élégant, minéral et puissant. Le nez dévoile un magnifique bouquet de fleurs blanches et la finale est accentuée par des notes de fruits jaunes.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Je t'ai dans la peau Blanc 2015,
Nicolas Chemarin
Nicolas Chemarin, surnommé P’tit Grobis en qualité d’habitant de Marchampt (Beaujolais), est la quatrième génération de vigneron sur son domaine viticole familial en appellation Beaujolais-Villages, sur une terre tout en cailloux où il cisèle des vins surprenants de profondeur et de sincérité. C’est en 2005 qu’il reprend deux hectares de vignes de son père et en 2006 qu’il signe ses premières cuvées. En 2008, il acquiert d’autres vignes et décide de se consacrer uniquement à son domaine dont le terroir, très escarpé, consiste en sols rocailleux et pauvres sur une roche granitique grise. Les vignes reposent sur le substrat rocheux à travers un sol très mince, et leurs racines plongent profondément dans la roche. Selon la configuration du sol, les vignes sont taillées en gobelet ou relevées sur échalas. Leur âge moyen est de quatre-vingts ans. L’encépagement, gamay et chardonnay, est classiquement beaujolais. Nicolas exploite aussi deux autres terroirs sur l’appellation Régnié : Les Bullats, aux sols sableux légers et filtrants, et La Haute Ronze, très proche de Morgon, dont les sols, plus profonds et argileux, donnent des vins charpentés. Les crus subissent de longues macérations (de 18 à 30 jours) avec pigeage et contrôle des températures (Nicolas travaille à froid, autour de 20 °C). L’élevage se fait partiellement en cuves de béton thermorégulées pour un tiers, les deux tiers restants passant en fûts de quatre à dix vins afin d’apporter une oxygénation mais peu ou pas de sensation boisée. Nicolas Chemarin est déjà très connu dans le milieu du nature pour ses cuvées friandes et fruitées, des vins de plaisir, et pour des crus issus de terroirs ardus et magnifiques, pourvus d’admirables et complexes notes minérales, aromatiques et épicées.
Comme son nom l’indique, Je t’ai dans la peau est une affaire d’épiderme. De peau de raisin, bien sûr, puisqu’il s’agit d’un blanc de macération, expérience réalisée par Nicolas avec diverses nuances depuis 2009 pour obtenir des vins à la personnalité marquée. L’objectif n’est pas d’obtenir des vins orange exubérants à l’italienne ou à la méridionale, mais des macérations maîtrisées avec du fruit et de la profondeur. La vendange provient de la même parcelle que celle de P’tit Grobis blanc : tout chardonnay bien entendu, sols granitiques caillouteux. Le millésime 2015 est réalisé en macération pure. Celle-ci est courte : de cinq à sept jours. L’élevage est de deux ans en fûts. Cet orange-ci offre une belle couleur or et des notes beurrées, caressantes, rondes, fruitées en milieu de bouche. Un bel équilibre à savourer.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Bedeau Qvevris rouge 2019,
Frédéric Cossard
Par son travail entièrement naturel, Frédéric Cossard rend la parole aux terroirs et aux vins bourguignons, non déformés par la chimie agricole. Ayant constaté, au cours de ses années de négoce, l’existence de pratiques viticoles dommageables, le vigneron s’est servi de ce contre-exemple pour pratiquer une viticulture non dénaturée. Ainsi, il réalise des cuvées d’une pureté et d’une élégance sans artifice qui comptent parmi les plus recherchées de Bourgogne. Frédéric a exercé quelque temps le métier de courtier en vins avant de créer en 1996, avec sa compagne Laure, le domaine de Chassorney : d’abord quelques ares de vignes à Saint-Romain, Auxey-Duresses et Savigny-lès-Beaune, et actuellement dix hectares répartis sur les appellations Nuits-Saint-Georges, Pommard, Volnay, Bourgogne Hautes Côtes de Beaune et Bourgogne. En 2006, il crée sa maison de négoce et achète des raisins biologiques pour vinifier, selon son style et ses convictions, de grands crus tels que meursault, puligny-montrachet, chassagne-montrachet, pommard, nuits-saint-georges, chambolle-musigny, vosne-romanée et plusieurs crus de beaujolais. L’exercice ne se limite pas à la Bourgogne puisque des cuvées sont réalisées à partir de raisins achetés dans le Jura ou en Languedoc. Chez lui, le travail du sol et des vignes se fait le plus naturellement possible : labours réguliers au cheval, pas d’ajout d’engrais chimique ni de désherbant. Les vignes sont soignées selon les principes de la biodynamie : traitements homéopathiques à base d’huiles essentielles, de cuivre et de soufre en doses minimales. Les vendanges sont entièrement manuelles, pratiquées à pleine maturité, fin octobre. Rouges ou blancs, bourgognes classiques ou bouteilles plus atypiques ou moins « régionales », les crus de Frédéric sont des vins rares et convoités, qu’il faut parfois savoir attendre.
Un beau pinot noir très fin, encore raffiné et velouté par l’élevage en qvevri (jarre de terre cuite de type géorgien). La vendange provient de parcelles de vignes de quarante ans à Volnay et alentour, et d’une parcelle de vignes cinquantenaires à Nuits-Saint-Georges. Un fruit somptueux et satiné, une touche de terre fraîche et une touche d’insolence pour relever l’ensemble.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Guy Liquoreux 2011
Antony Tortul aime les vieux vignobles : il consacre sa vie à les trouver et à les vinifier. Comme il existe des bergers sans terre, on peut le définir comme un vigneron sans terre, autrement dit un négociant vinificateur dont l’aire d’action s’étend sur tout le Languedoc et, vers l’est, jusqu’à Châteauneuf-du-Pape, à la recherche des meilleurs terroirs. Né à Foix, riche d’une expérience de six années en tant que technicien viticole et œnologue dans divers vignobles du sud de la France, il a créé La Sorga en 2008. Son enthousiasme le mène sur une trajectoire faite de coups de cœur, et chacun de ces coups de cœur est un vignoble. Le résultat est une étourdissante mosaïque de vins naturels, vivants et pleins d’esprit, qui se réinvente chaque année avec une trentaine de cuvées par millésime. Peu de vignerons peuvent inscrire à leur tableau une telle variété de cépages : tout le Sud français y passe avec muscats, grenaches, picpoul, mauzac, carignan, cinsault, marsanne, alicante, braucol, duras, viognier, len-de-l’el, e tutti quanti.
La cuvée Guy est obtenue à partir d’un assemblage de deux cépages méridionaux croissant sur les calcaires durs urgoniens de Puéchabon (Hérault) : le vermentino (appelé rolle en France), à quatre-vingts pour cent, vignes de vingt-cinq ans, et le viognier, vingt pour cent, vignes de vingt-cinq ans. Ces deux cépages macèrent ensemble en grappes entières pendant deux semaines. Ensuite, seul le cœur de presse est sélectionné avant l’élevage en vieilles barriques, sans ouillage, pendant plus de neuf ans. Un vin à forte personnalité et à notes finement oxydatives, présentant un nez sur la bergamote, le melon confit, la noix fraîche. La bouche est ample, dénuée de tout sucre résiduel et de toute sensation boisée, puissante et d’une grande complexité. La finale est vive. Ce vin tient très bien à l’air (plus de six mois) et offre une structure à toute épreuve.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Sorga Africa Rouge 2019,
La Sorga
"Antony Tortul aime les vieux vignobles : il consacre sa vie à les trouver et à les vinifier. Comme il existe des bergers sans terre, on peut le définir comme un vigneron sans terre, autrement dit un négociant vinificateur dont l’aire d’action s’étend sur tout le Languedoc et, vers l’est, jusqu’à Châteauneuf-du-Pape, à la recherche des meilleurs terroirs. Né à Foix, riche d’une expérience de six années en tant que technicien viticole et œnologue dans divers vignobles du sud de la France, il a créé La Sorga en 2008. Son enthousiasme le mène sur une trajectoire faite de coups de cœur, et chacun de ces coups de cœur est un vignoble. Le résultat est une étourdissante mosaïque de vins naturels, vivants et pleins d’esprit, qui se réinvente chaque année avec une trentaine de cuvées par millésime. Peu de vignerons peuvent inscrire à leur tableau une telle variété de cépages : tout le Sud français y passe avec muscats, grenaches, picpoul, mauzac, carignan, cinsault, marsanne, alicante, braucol, duras, viognier, len-de-l’el, e tutti quanti.
Sorga Africa est un assemblage de cinsault (soixante-dix pour cent, vignes de soixante-cinq ans) et de carignan (trente pour cent, vignes de soixante-cinq ans) cultivés à Cabrerolles, dans l’aire d’appellation Faugères sur sols schisteux. Les deux cépages macèrent séparément en grappes entières en quasi-infusion, avec de léger pigeages et délestages, respectivement pendant soixante et trente-cinq jours. L’élevage se fait en cuve pendant sept mois. Ce vin manifeste une très bonne tenue à l’air. Au nez, il offre de belles notes florales et poivrées évoquant la pierre chaude et les fruits noirs. La bouche est très gourmande, pleine et fraîche. Son potentiel de garde est de dix ans. C’est le premier millésime de cette cuvée à être buvable si vite après la mise en bouteilles : il est d’ores et déjà prêt à associer avec des cuisines orientales ou africaines — maghrébines ou subsahariennes, ou à figurer dans un barbecue estival. Les épices, voire le piment, lui iront très bien. One love !
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Le Litre Arbitre Blanc 2019
Château Lafitte
Va avec : Huîtres et Coquillages, Poissons crus, Poissons cuisinés, Poissons grillés
Vieille Vigne Rouge 2019
Nichée en Occitanie, cette cuvée Vieille Vigne Falgueyras du Domaine Bois Moisset est une belle expression de la Syrah sur son terroir tarnais. Issu de vieilles vignes de 30 et 40 ans, plantées sur des sols de boulbènes et graviers, ce vin naturel est vinifié avec une approche minimaliste et respectueuse.
Un millésime sous le signe de l’équilibre
L’année 2019 n’a pas été de tout repos : après quelques épisodes de grêle au printemps, l’été chaud a été ponctué d’orages salvateurs en juillet et août, assurant une belle maturité des raisins. Vendangée le 19 septembre, la Syrah a été éraflée puis a macéré durant un mois en cuve béton, avec deux pigeages pour extraire couleur et structure, tout en douceur. La fermentation s’est déroulée sans ajout de sulfites, à une température ne dépassant pas 23 °C, préservant ainsi toute la fraîcheur du fruit. Après un élevage de neuf mois en cuve, le vin a été mis en bouteille sans filtration pour conserver son expression la plus pure.
Un vin gourmand et plein de caractère
À la dégustation, Vieille Vigne Falgueyras dévoile un profil fruité et charmeur. Sa robe sombre et profonde annonce un nez intense de cassis, mûre et griotte, accompagné d’une touche poivrée typique de la Syrah. En bouche, l’attaque est ample et juteuse, offrant un bel équilibre entre gourmandise et fraîcheur. Les tanins sont fins et soyeux, laissant place à une finale savoureuse et persistante.
Accords et moments de dégustation
Ce rouge accessible et convivial se prête aussi bien aux repas décontractés qu’aux grandes tablées entre amis. Il accompagnera à merveille charcuteries, grillades, pizzas, plats méditerranéens ou encore un bon barbecue d’été. À déguster légèrement rafraîchi pour exalter toute sa fraîcheur et son fruité.
Magnum Tonton Grolleau Rouge 2019
Vincent Wallard
Comme son nom l’indique, c’est un 100 % grolleau de vieilles vignes (quatre-vingts ans) croissant sur sols schisteux. Les parcelles ont appartenu autrefois au domaine des Sablonnettes (Rablay-sur-Layon). La vendange macère trois semaines en grappes entières. Joliment fruité, avec la nuance de prune caractéristique du cépage, épicé et de texture souple et légère.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Canoe Gaillac Rouge 2011,
La Sorga
Ce vin est un assemblage de braucol (60 %, vignes de soixante-cinq ans), de duras (30 %, vignes de soixante-cinq ans) et de 10 % de merlot provenant tous de l’aire d’appellation de Faugères sur sols argilo-calcaires et urgoniens. La vendange est égrappée avant macération, légèrement pigée et l’infusion se poursuit pendant un mois. L’élevage se fait en cuve pendant dix-huit mois sur lies. Arômes fumés, notes de fruits noirs : parfait pour Viandes Rouges et grillades. Potentiel de garde : vingt ans.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Va avec : Viandes Rouges, Viandes grillées
Du Bout des Lèvres Blanc 2009
Jérome Lambert
En pur chenin blanc liquoreux qui se respecte, Du bout des lèvres est issu d’un sol de schistes où poussent des vignes âgées de cinquante ans, vendangées à différents stades de maturité. C’est ici le botrytis, autrement dit la pourriture noble, qui permet d’atteindre cette puissance aromatique au nez comme en bouche. Il fera des merveilles à l’apéritif, accompagné de quelques biscuits au beurre salé.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Ô mon Païs Blanc 2011
Domaine La Sorga
Assemblage de sauvignon et de chenin, Ô Mon Païs offre des notes de litchi, de bergamote et de citronnelle : parfait pour accompagner les poissons crus et les cuisines d’Asie. La moitié des raisins est directement pressée, sans débourbage, et la seconde moitié macère en grappes entières pendant environ quarante-cinq jours avant un élevage d’un an en cuve. Potentiel de garde : vingt ans.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
Syrah Rouge 2017
Domaine des Miquettes
Syrah bien sûr, éclatante de fruit et de saveur, issue d’une parcelle isolée d’un hectare sur des sols de granite et de mica noir, à 350 mètres d’altitude.
Vin naturel sans sulfites ajoutés.
€139,50
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