Description
Crème de Whisky Sweethog, 50cl
Distillerie de Monsieur Balthazar
Nous l’avons cherchée longtemps, nous l’avons enfin trouvée, et nous sommes vraiment contents. Il s’agissait de mettre la main sur une crème de whisky qui tienne la route et qui soit à la hauteur de notre exigence en matière de goût et de respect du terroir. Nous ne voulions pas d’une version trop douce, trop sucrée — nous voulions du crémeux, de la saveur et de la distinction. Cette crème de whisky-là coche toutes les bonnes cases : fabrication artisanale, caractère, goût, élégance, gourmandise, originalité. Il fallait se tourner vers l’Auvergne, la forte personnalité de son terroir et la proximité de la forêt de Tronçais, dont les chênes servent depuis des siècles à fabriquer les plus beaux mâts de navire et les plus belles barriques d’affinage pour vins et alcools. Sweet Hog (« Doux hérisson », la distillerie se trouvant à Hérisson, dans l’Allier) est fabriquée à partir du whisky Hedgehog de la maison, de crème, de café et de chocolat. Elle est délicieuse, nous avons envie de dire ravissante (avec modération). L’équilibre de goût est une merveille : point trop sucrée, très parfumée, une petite goutte onctueuse et réconfortante à boire seule, bien fraîche, à utiliser en mixologie (vos White Russian et autres Alexandra vont en frémir de bonheur, voyez nos recettes) ou sur des desserts.
RECETTES (COCKTAILS)
Hedgehog White Russian
Pour 1 verre à whisky : remplissez le verre de glaçons. Versez-y 4 cl de vodka, 4 cl de crème de whisky Sweethog, 2 cl de liqueur de café et 2 cl de crème liquide. Mélangez avec un bâtonnet et servez.
Hedgehog Alexandra
Pour 1 verre à whisky ou à martini. Dans un shaker rempli de glaçons, versez 4 cl de cognac, 4 cl de crème de whisky Sweethog, 2 cl de crème de cacao et 3 cl de crème liquide. Shakez, servez et râpez un peu de noix de muscade sur le verre.
Pour en savoir plus
La Distillerie de Monsieur Balthazar doit ses origines à une rencontre théâtrale en Auvergne. À Hérisson, dans l’Allier, en 1984, Olivier Perrier rencontre James Leva, acteur américain de Caroline du Nord, qui l’initie à la fabrication du moonshine (alcool de contrebande ou, plus gentiment, alcool maison fabriqué avec les moyens du bord). Les années qui suivront, jusqu’en 2000, l’année de la fondation officielle de la distillerie, seront consacrées à maintes expérimentations et expériences. En effet, Olivier tient à ne pas imiter les modèles d’Outre-Manche ou d’Outre-Atlantique : il veut faire un alcool totalement original, personnel et artisanal, sur le canevas du whisky : un moonshine haut de gamme, en quelque sorte. Il utilise pour cela des céréales locales (orge, maïs, seigle) et les fûts de chêne de la forêt de Tronçais toute proche. Viendront ensuite gin, rhum blanc, rhum vieux, un apéritif aromatique, une vodka… Et une crème de whisky qui a carrément retenu notre attention. La maison est désormais entre les mains de David Faverot, successeur d’Olivier Perrier.
veroniquefamery –
Superbe ! Ca a définitivement remplacé le Baileys chez moi !
Celine MARIE –
Belle découverte, à recommander !